Égypte : les conséquences sociales et politiques d’une économie très dégradée.
On parle à juste titre de la politique intérieure égyptienne, on ne traite pas assez des conséquences de la politique du « tout-répression » contre les Frères musulmans (qui réserve sans doute des surprises dans les prochaines années), on n’évoque guère l’état de l’économie.
Le Sud contre l’Occident ?
2023 a vu se multiplier les forums amplifiant, de plus en plus, la voix d’un « Sud global ». Pour contradictoires et divisés qu’ils soient, ces forums (Brics+, OCS, G20, groupe des 77, sommet des Nouvelles routes de la soie…) expriment de nouveaux rapports de force, et surtout de nouvelles diplomaties, refusant l’alignement sur les puissances hier dominantes et privilégiant les intérêts d’États. Un nouveau monde se dessine, aux contours mouvants, encore incertains.
L'Égypte du général Sissi, entre réaction et aspirations révolutionnaires
L’élection présidentielle égyptienne du printemps 2018 aboutira selon toute vraisemblance au maintien au pouvoir d’Abdel Fattah Al-Sissi, l’opposition étant contrôlée de près.
Egypte 2017 : vers de nouvelles turbulences ?
En ce début d’année 2017, l’ordre règne en Egypte au prix d’une répression qui dépasse largement les Frères musulmans, mouvement qualifié de terroriste, et qui touche aussi des acteurs de la révolution du 25 janvier 2011. Cependant la menace terroriste persiste, au Sinaï et même dans l’agglomération du Caire comme en témoigne l’attaque du 11 décembre 2016 contre une église copte. Un malaise est perceptible dans l’opinion publique qui critique ouvertement le gouvernement, voire le président Sissi lui-même. La période de Sissimania semble maintenant révolue.
Les défis de l'Égypte du président Sissi
L’Égypte – qui a connu en quatre ans deux révolutions, quatre présidents et trois constitutions – semble entrée dans une phase de stabilisation et de reconstruction politique et économique.
Le président Sissi ne veut pas apparaître comme le restaurateur d’un ordre ancien. En rupture avec l’ère Moubarak, il entend gouverner autrement grâce à l’appui d’une nouvelle génération.
Le Sud contre l’Occident ?
2023 a vu se multiplier les forums amplifiant, de plus en plus, la voix d’un « Sud global ». Pour contradictoires et divisés qu’ils soient, ces forums (Brics+, OCS, G20, groupe des 77, sommet des Nouvelles routes de la soie…) expriment de nouveaux rapports de force, et surtout de nouvelles diplomaties, refusant l’alignement sur les puissances hier dominantes et privilégiant les intérêts d’États. Un nouveau monde se dessine, aux contours mouvants, encore incertains.
L'Égypte du général Sissi, entre réaction et aspirations révolutionnaires
L’élection présidentielle égyptienne du printemps 2018 aboutira selon toute vraisemblance au maintien au pouvoir d’Abdel Fattah Al-Sissi, l’opposition étant contrôlée de près.
Egypte 2017 : vers de nouvelles turbulences ?
En ce début d’année 2017, l’ordre règne en Egypte au prix d’une répression qui dépasse largement les Frères musulmans, mouvement qualifié de terroriste, et qui touche aussi des acteurs de la révolution du 25 janvier 2011. Cependant la menace terroriste persiste, au Sinaï et même dans l’agglomération du Caire comme en témoigne l’attaque du 11 décembre 2016 contre une église copte. Un malaise est perceptible dans l’opinion publique qui critique ouvertement le gouvernement, voire le président Sissi lui-même. La période de Sissimania semble maintenant révolue.
Les défis de l'Égypte du président Sissi
L’Égypte – qui a connu en quatre ans deux révolutions, quatre présidents et trois constitutions – semble entrée dans une phase de stabilisation et de reconstruction politique et économique.
Le président Sissi ne veut pas apparaître comme le restaurateur d’un ordre ancien. En rupture avec l’ère Moubarak, il entend gouverner autrement grâce à l’appui d’une nouvelle génération.
Égypte : les conséquences sociales et politiques d’une économie très dégradée.
On parle à juste titre de la politique intérieure égyptienne, on ne traite pas assez des conséquences de la politique du « tout-répression » contre les Frères musulmans (qui réserve sans doute des surprises dans les prochaines années), on n’évoque guère l’état de l’économie.
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