Proche-Orient
Analyse des facteurs de crise au Proche-Orient, transformé par la guerre en Syrie et la persistance du conflit israélo-arabe, et où les enjeux de souveraineté et de frontières compliquent les problématiques humanitaires.
Politique et religion au Moyen-Orient|Haïm Korsia, Olivier Roy et Thierry de Montbrial (WPC 2024)
Dimanche 15 décembre 2024 - 17ᵉ édition de la World Policy Conference à Abou Dhabi, Émirats arabes unis. Session plénière 17 : Politique et religion au Moyen-Orient
Chute de Bachar el-Assad : Vladimir Poutine, le nouveau parrain boiteux
La chute de Bachar el-Assad met en avant les faiblesses de la Russie de protéger ses Etats-clients. Si en 2015, l'aide russe au dirigeant syrien se voulait attractive pour d'autres Etats du Sud Global, aujourd'hui la stratégie russe en Afrique risque d'être freiner par la perte de ses deux bases militaires. Tatiana Kastouéva-Jean, directrice du Centre Russie/Eurasie à l'Ifri, analyse les conséquences de la chute de Bachar el-Assad pour la stratégie de Vladimir Poutine auprès de ses Etats-clients.
La chute de Bachar Al-Assad, un revers d'ampleur pour la Russie de Vladimir Poutine
Le président syrien a trouvé refuge à Moscou. En 2015, le soutien du Kremlin lui avait permis de reprendre le contrôle d’une grande partie du pays. Cette fois-ci, l’armée russe, qui concentre ses moyens sur le front ukrainien, n’est pratiquement pas intervenue face aux rebelles islamistes. Tatiana Kastouéva-Jean, directrice du Centre Russie/Eurasie à l'Ifri, analyse les conséquences de la situation en Syrie pour le Kremlin.
« Le retournement inouï de la situation politique en Syrie ces derniers jours met l’Occident face à ses responsabilités »
Alors que l’Europe s’est jusque-là tenue à distance du conflit syrien, laissant la Russie, l’Iran et la Turquie jouer leur partition, l’hypothèse d’une normalisation est désormais bel et bien sur la table, analyse la spécialiste du monde méditerranéen, dans une tribune au « Monde ».
Offensive en Syrie: le jeu trouble de la Turquie
Alors que des groupes djihadistes ont lancé une offensive contre les forces du régime d'Assad, la Turquie, qui entretient des relations tumultueuses avec la Syrie depuis 2011, est soupçonnée d'avoir joué un rôle dans le déclenchement de l'offensive.
Cessez-le-feu au Liban : "Cet accord reflète l'état des rapports de force sur le terrain"
Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah est entré en vigueur tôt mercredi au Liban, après deux mois de guerre ouverte entre l'armée israélienne et le mouvement libanais armé soutenu par l'Iran. L'analyse d'Adel Bakawan, chercheur associé au Programme Turquie/Moyen Orient de l'Ifri.
CPI : qui peut arrêter Netanyahou ?
Ce 21 novembre, la Cour pénale internationale a délivré trois mandats d’arrêt, dont l'un vise le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. Cette procédure judiciaire est-elle une victoire symbolique pour les Palestiniens ou peut-elle avoir des conséquences concrètes sur le conflit à Gaza ? L'inculpation de Benjamin Netanyahou par la CPI pourrait avoir une influence sur le cours du conflit. L'autre information du jour au Proche-Orient est la possibilité d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, qui serait en voie d'être finalisé. En quoi consisterait cet accord ?
La stratégie guerrière de Benyamin Nétanyahou à l’épreuve du temps
Depuis le 7 octobre, le premier ministre israélien a réaffirmé son pays comme la puissance militaire dominante de la région. Y compris au mépris du droit international. Alors que la Cour pénale internationale a émis un mandat d’arrêt contre lui, sa politique peut-elle encore perdurer ? Au lendemain des massacres du 7 octobre, l’une des pires défaillances sécuritaires d’Israël depuis la guerre de Kippour en 1973, son gouvernement s’est lancé dans une démonstration de force multiforme, visant à prouver sa suprématie militaire dans tous les domaines.
Au cœur de la Cour pénale internationale
Dans cet épisode exceptionnel du Monde selon l'Ifri, nous avons l’honneur de recevoir Marc Perrin de Brichambaut, ancien juge à la Cour pénale internationale (2015-2024). Personnalité éminente du droit international, il a également été Secrétaire Général de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), Conseiller d’État, et directeur juridique du ministère des Affaires étrangères. Il a signé, au nom de la France, le Statut de Rome en 1998, acte fondateur de la CPI.
Au Proche-Orient, cette guerre qui ne veut pas finir
1/ A Gaza, la guerre jusqu’où ? 2/ Liban, vers un cadeau à Trump ? 3/ Le périlleux face-à-face Israël-Iran.
Retrouvez Le Club Le Figaro International présenté par Philippe Gélie entouré de Amélie Férey, Chercheuse au Centre des études de sécurité de l’Ifri et responsable du Laboratoire de recherche sur la défense (LRD), Nadjet Cherigui, Bernard Hourcade et Renaud Girard.
La Syrie : représailles "post-guerre civile" et rémanence du passé
Bachar Al-Assad estime avoir gagné la guerre qui a démarré en 2011, même si des poches de rébellion demeurent et si la violence tend à nouveau à augmenter.
La relation russo-iranienne à l'épreuve de l'escalade militaire au Moyen-Orient
Les relations entre Téhéran et Moscou ont connu un nouvel élan depuis le début de la guerre en Ukraine, passant d'une relation transactionnelle et asymétrique depuis 1991 à la construction d'un véritable partenariat stratégique. Néanmoins, malgré l’approfondissement des coopérations militaire, spatiale, cyber, policière et nucléaire civile, Moscou se montre réticent à s’engager directement aux côtés de Téhéran contre les États-Unis et leurs alliés au Moyen-Orient. Des différences de statut et d’approches freinent ainsi toujours la construction d’une alliance anti-occidentale entre la Russie et l’Iran.
Après la mort de Nasrallah, quelle stratégie régionale pour l’Iran ?
Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, a été tué dans une frappe israélienne à Beyrouth le 27 septembre. La milice et son dirigeant étaient considérés comme le fer de lance de l’Axe de la Résistance, cette coalition de groupes miliciens majoritairement chiites qui sont au coeur de la stratégie régionale de l’Iran.
DOSSIER RAMSES 2025 N° 1 – Moyen-Orient : la recomposition sans fin
Au Moyen-Orient, les acteurs directs du conflit semblent incapables d'en revenir à un dialogue politique, tandis que les acteurs voisins manoeuvrent au fil de leurs intérêts d'État, à la recherche d'une introuvable recomposition régionale. Les puissances extérieures pèsent-elles vraiment ?
Israël-Gaza après le 7 octobre
Le conflit à Gaza met aux prises deux acteurs en crise interne : des Palestiniens sans représentation crédible et des Israéliens politiquement très clivés. Les solidarités avec l’un et l’autre camp s’ordonnent internationalement de manière nouvelle, avec les poids inédits des opinions et d’instances internationales qui affectent le rapport de force global. Seule une mobilisation internationale pourra rendre possible une solution à deux États, unique sortie crédible pour un conflit séculaire.
Iran et Israël : meilleurs ennemis
L’attaque de missiles iraniens sur le sol israélien le 13 avril 2024, suivie par une riposte d’Israël visant une base militaire proche d’un des principaux sites nucléaires iraniens, fut le point d’orgue d’une guerre multiforme qui oppose les deux pays depuis plusieurs décennies. Alors qu’Israël entretenait les meilleures relations, diplomatiques et même militaires, avec l’Iran du Shah Mohammad Reza Pahlavi, il est apparu très vite qu’il n’en serait pas de même avec la République islamique.
Populismes et relations internationales - Politique étrangère, vol. 89, n° 2, été 2024
Les populismes font florès, en Europe et ailleurs : en Argentine, peut-être demain à nouveau aux États-Unis… Que nous disent-ils de nos sociétés ? Et, s’ils arrivent au pouvoir, comment les modèlent-ils ? Leurs politiques économiques ont-elles quelques chances de succès ? Les politiques étrangères de leurs gouvernements influent-elles plus sur leur environnement, ou sur leurs propres sociétés ? Un « Trump 2 » au pouvoir à Washington serait-il totalement libre, et avec quels effets, de ses choix ?
La France a-t-elle encore une politique arabe ?
Dès la fin de la guerre d’Algérie, la France a systématiquement repris contact avec les pays arabes qui avaient rompu les relations diplomatiques au moment de la malheureuse expédition de Suez de 1956. Ainsi se sont renouées ou nouées des relations actives et souvent confiantes, y compris avec des pays où elle était absente, comme les émirats du Golfe. Le président Chirac a voulu formaliser et conforter cette orientation lorsque le 6 mars 1996, à l’université du Caire, il a évoqué la « politique arabe et méditerranéenne » de la France. Par-delà quelques principes communs, il s’agissait naturellement d’une politique à géométrie variable selon les pays, avec la volonté d’être présent dans cet ensemble de pays qui sont nos voisins proches, situés dans une zone stratégique et dont d’importantes communautés vivent en France. Très tôt attachée à contribuer à la paix entre Israël et les pays arabes, la France prône une politique équilibrée entre le maintien de la sécurité d’Israël et le soutien du processus de paix israélo-palestinien qui donnerait le droit à l’autodétermination des Palestiniens et à la création d’un État. À cet égard, l’année 2007 représente une rupture due à l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy qui sur ce plan, comme sur d’autres, a pris le contre-pied de son prédécesseur. Depuis lors, la politique de la France dans cette région n’a plus la même priorité, réagit plus qu’elle n’agit et semble flotter entre une volonté de maintenir ses liens avec les pays arabes et une certaine complaisance à l’égard d’Israël.
Le monde au prisme de l'Ukraine - Politique étrangère, vol. 89, n° 1, printemps 2024
Trois dimensions d’une actualité conflictuelle brûlante pour ce numéro de Politique étrangère.
Le Sud contre l’Occident ?
2023 a vu se multiplier les forums amplifiant, de plus en plus, la voix d’un « Sud global ». Pour contradictoires et divisés qu’ils soient, ces forums (Brics+, OCS, G20, groupe des 77, sommet des Nouvelles routes de la soie…) expriment de nouveaux rapports de force, et surtout de nouvelles diplomaties, refusant l’alignement sur les puissances hier dominantes et privilégiant les intérêts d’États. Un nouveau monde se dessine, aux contours mouvants, encore incertains.
Chute de Bachar el-Assad : Vladimir Poutine, le nouveau parrain boiteux
La chute de Bachar el-Assad met en avant les faiblesses de la Russie de protéger ses Etats-clients. Si en 2015, l'aide russe au dirigeant syrien se voulait attractive pour d'autres Etats du Sud Global, aujourd'hui la stratégie russe en Afrique risque d'être freiner par la perte de ses deux bases militaires. Tatiana Kastouéva-Jean, directrice du Centre Russie/Eurasie à l'Ifri, analyse les conséquences de la chute de Bachar el-Assad pour la stratégie de Vladimir Poutine auprès de ses Etats-clients.
La chute de Bachar Al-Assad, un revers d'ampleur pour la Russie de Vladimir Poutine
Le président syrien a trouvé refuge à Moscou. En 2015, le soutien du Kremlin lui avait permis de reprendre le contrôle d’une grande partie du pays. Cette fois-ci, l’armée russe, qui concentre ses moyens sur le front ukrainien, n’est pratiquement pas intervenue face aux rebelles islamistes. Tatiana Kastouéva-Jean, directrice du Centre Russie/Eurasie à l'Ifri, analyse les conséquences de la situation en Syrie pour le Kremlin.
« Le retournement inouï de la situation politique en Syrie ces derniers jours met l’Occident face à ses responsabilités »
Alors que l’Europe s’est jusque-là tenue à distance du conflit syrien, laissant la Russie, l’Iran et la Turquie jouer leur partition, l’hypothèse d’une normalisation est désormais bel et bien sur la table, analyse la spécialiste du monde méditerranéen, dans une tribune au « Monde ».
Offensive en Syrie: le jeu trouble de la Turquie
Alors que des groupes djihadistes ont lancé une offensive contre les forces du régime d'Assad, la Turquie, qui entretient des relations tumultueuses avec la Syrie depuis 2011, est soupçonnée d'avoir joué un rôle dans le déclenchement de l'offensive.
Cessez-le-feu au Liban : "Cet accord reflète l'état des rapports de force sur le terrain"
Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah est entré en vigueur tôt mercredi au Liban, après deux mois de guerre ouverte entre l'armée israélienne et le mouvement libanais armé soutenu par l'Iran. L'analyse d'Adel Bakawan, chercheur associé au Programme Turquie/Moyen Orient de l'Ifri.
CPI : qui peut arrêter Netanyahou ?
Ce 21 novembre, la Cour pénale internationale a délivré trois mandats d’arrêt, dont l'un vise le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. Cette procédure judiciaire est-elle une victoire symbolique pour les Palestiniens ou peut-elle avoir des conséquences concrètes sur le conflit à Gaza ? L'inculpation de Benjamin Netanyahou par la CPI pourrait avoir une influence sur le cours du conflit. L'autre information du jour au Proche-Orient est la possibilité d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, qui serait en voie d'être finalisé. En quoi consisterait cet accord ?
La stratégie guerrière de Benyamin Nétanyahou à l’épreuve du temps
Depuis le 7 octobre, le premier ministre israélien a réaffirmé son pays comme la puissance militaire dominante de la région. Y compris au mépris du droit international. Alors que la Cour pénale internationale a émis un mandat d’arrêt contre lui, sa politique peut-elle encore perdurer ? Au lendemain des massacres du 7 octobre, l’une des pires défaillances sécuritaires d’Israël depuis la guerre de Kippour en 1973, son gouvernement s’est lancé dans une démonstration de force multiforme, visant à prouver sa suprématie militaire dans tous les domaines.
Attaque de l'Iran sur Israël : un nouveau chapitre de la guerre ?
Mardi 1er octobre, Israël a été victime d’une attaque massive de missiles iraniens. Dans quel nouveau chapitre de la guerre au Proche-Orient cette attaque s’inscrit-elle ?
L'Iran frappe Israël : le monde retient son souffle
Au lendemain d'une attaque iranienne inédite sur Israël, comment la situation au Moyen-Orient peut-elle évoluer ? Bien que la salve de missiles balistiques tirés sur le territoire israélien n'ait pas fait de dégâts graves, l'Etat hébreu peut-il ne pas répondre ?
« Alors que le bruit des bottes résonne à nouveau pour les Libanais, nous nous trouvons à un point de bascule géopolitique »
Politique et religion au Moyen-Orient|Haïm Korsia, Olivier Roy et Thierry de Montbrial (WPC 2024)
Dimanche 15 décembre 2024 - 17ᵉ édition de la World Policy Conference à Abou Dhabi, Émirats arabes unis. Session plénière 17 : Politique et religion au Moyen-Orient
Offensive en Syrie: le jeu trouble de la Turquie
Alors que des groupes djihadistes ont lancé une offensive contre les forces du régime d'Assad, la Turquie, qui entretient des relations tumultueuses avec la Syrie depuis 2011, est soupçonnée d'avoir joué un rôle dans le déclenchement de l'offensive.
Cessez-le-feu au Liban : "Cet accord reflète l'état des rapports de force sur le terrain"
Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah est entré en vigueur tôt mercredi au Liban, après deux mois de guerre ouverte entre l'armée israélienne et le mouvement libanais armé soutenu par l'Iran. L'analyse d'Adel Bakawan, chercheur associé au Programme Turquie/Moyen Orient de l'Ifri.
CPI : qui peut arrêter Netanyahou ?
Ce 21 novembre, la Cour pénale internationale a délivré trois mandats d’arrêt, dont l'un vise le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. Cette procédure judiciaire est-elle une victoire symbolique pour les Palestiniens ou peut-elle avoir des conséquences concrètes sur le conflit à Gaza ? L'inculpation de Benjamin Netanyahou par la CPI pourrait avoir une influence sur le cours du conflit. L'autre information du jour au Proche-Orient est la possibilité d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, qui serait en voie d'être finalisé. En quoi consisterait cet accord ?
Au cœur de la Cour pénale internationale
Dans cet épisode exceptionnel du Monde selon l'Ifri, nous avons l’honneur de recevoir Marc Perrin de Brichambaut, ancien juge à la Cour pénale internationale (2015-2024). Personnalité éminente du droit international, il a également été Secrétaire Général de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), Conseiller d’État, et directeur juridique du ministère des Affaires étrangères. Il a signé, au nom de la France, le Statut de Rome en 1998, acte fondateur de la CPI.
Au Proche-Orient, cette guerre qui ne veut pas finir
1/ A Gaza, la guerre jusqu’où ? 2/ Liban, vers un cadeau à Trump ? 3/ Le périlleux face-à-face Israël-Iran.
Retrouvez Le Club Le Figaro International présenté par Philippe Gélie entouré de Amélie Férey, Chercheuse au Centre des études de sécurité de l’Ifri et responsable du Laboratoire de recherche sur la défense (LRD), Nadjet Cherigui, Bernard Hourcade et Renaud Girard.
La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle, selon Laure de Roucy-Rochegonde
Les images du drone ayant identifié Yahya Sinouar le 16 octobre 2024 ont fait le tour du monde. Comment l'usage de nouvelles technologies à des fins bellicistes reconfigure-t-il le contrôle de la force, désormais réparti entre l'humain et l'IA ? Comment l'IA bouleverse le droit de la guerre ?
Replay - Géopolitique de l'IA - Conférence de l'Ifri à La Sorbonne
À l’occasion de la publication du dossier spécial de Politique étrangère sur l'Intelligence artificielle, l'Ifri a organisé une conférence à la Sorbonne en présence de trois des auteurs de ce dossier.
De l'Ukraine à Gaza : la guerre des récits
Dans cet épisode du "Monde selon l'Ifri", nous recevons Amélie Férey, responsable du Laboratoire de Recherche sur la Défense de l’Ifri, pour parler de son dernier livre Les mots, armes d’une nouvelle guerre. Amélie Férey explore comment le langage et les récits jouent un rôle crucial dans la conduite des conflits modernes, y compris les guerres en Ukraine et à Gaza. Elle aborde également le concept de lawfare, le rôle des réseaux sociaux, et comment l'intelligence artificielle redéfinit la guerre de l’information.
Proche-Orient : un an après le 7 octobre 2023
Un an après l'attaque sans précédent du Hamas sur le territoire israélien, nous répondons à toutes vos questions sur la situation au Proche et Moyen-Orient : les bombardements sur la bande Gaza et ses conséquences humanitaires, le sort des otages, l'avenir du Hamas, l'extension régionale du conflit au Liban, en Iran et au Yémen, la marge de manœuvre de la diplomatie...
Attaque de l'Iran sur Israël : un nouveau chapitre de la guerre ?
Mardi 1er octobre, Israël a été victime d’une attaque massive de missiles iraniens. Dans quel nouveau chapitre de la guerre au Proche-Orient cette attaque s’inscrit-elle ?
L'Iran frappe Israël : le monde retient son souffle
Au lendemain d'une attaque iranienne inédite sur Israël, comment la situation au Moyen-Orient peut-elle évoluer ? Bien que la salve de missiles balistiques tirés sur le territoire israélien n'ait pas fait de dégâts graves, l'Etat hébreu peut-il ne pas répondre ?
Quelle réponse de l’Iran après la mort du chef du Hezbollah ?
Le Hezbollah a confirmé, samedi 28 septembre, la mort de son chef historique, Hassan Nasrallah — revendiquée quelques heures plus tôt sur X par l'armée israélienne — à la suite d'une frappe dans le sud de Beyrouth. Un véritable coup de tonnerre dans tout le Moyen-Orient, et particulièrement en Iran.
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