Proche-Orient
Analyse des facteurs de crise au Proche-Orient, transformé par la guerre en Syrie et la persistance du conflit israélo-arabe, et où les enjeux de souveraineté et de frontières compliquent les problématiques humanitaires.
Gaza : peut-on stopper la crise humanitaire ?
Retour sur la conférence humanitaire sur Gaza qui s’est tenue ce matin à Paris, à l’initiative d’Emmanuel Macron : Le président qui a appelé à un cessez-le-feu et à la mobilisation de la communauté internationale pour les civils de Gaza.
Comment le conflit Israël / Hamas profite à Poutine en éclipsant la guerre en Ukraine ?
Guerre Israël - Hamas: pour les pays arabes, l'endiguement de la question palestinienne ne peut plus durer
Ils sont prêts à sortir du statu quo. La World Policy Conference, qui vient de se tenir à Abu Dhabi, a fait entendre un langage nouveau de la part de certains acteurs du monde arabe. L'émotion causée par le massacre du 7 octobre, les prises d'otages et la crainte pour les Gazaouis qui subissent les représailles d'Israël contre le Hamas font bouger les lignes.
Les accords d’Abraham à l’épreuve du conflit entre Israël et le Hamas
Comme les États-Unis, comme l’Europe et comme les pays arabes, les États du Golfe avaient cru qu’il était possible de vivre en ignorant la question palestinienne, un conflit de basse intensité.
Le monde comme il va : guerre à Gaza / Ukraine
Les gouvernements occidentaux paient aujourd’hui leur impuissance à trouver, voire à chercher une solution à la question palestinienne. Ils paient leur incapacité à adapter la gouvernance internationale qu’ils dominaient aux nouvelles réalités des équilibres mondiaux.
La démonstration de force d'Israël
L’armée Israélienne poursuit ses opérations dans la bande de Gaza, quatre semaines après l’attaque du Hamas en territoire israélien. L’ambition des responsables israéliens est de détruire les branches militaire et politique du Hamas à Gaza à coups de bombardements d’une extrême intensité. Enjeu capital pour le gouvernement israélien : le sort des otages. Les négociations se poursuivent via notamment le Qatar, malgré l'absence de retenue de l'État hébreu.
Guerre Israël-Hamas : « Le rôle de l'Iran sera crucial »
Fondateur de la World Policy Conference qui tient sa 16 édition à Abu Dhabi ce week-end, en partenariat avec « Les Echos », Thierry de Montbrial revient sur les crises qui secouent le système international, du conflit qui oppose Israël au Hamas à la guerre en Ukraine.
USA et Israel alliés, mais jusqu'où ?
Depuis l'attaque du 7 octobre, un conflit armé a repris entre le Hamas et Israël. Si les Etats-Unis, par l'intermédiaire d'Anthony Blinken puis Joe Biden ont publiquement soutenu l'Etat Israëlien, nous pouvons nous demander si cela va durer, notamment en voyant la violence réponse israëlienne à Gaza.
Gaza, les offensives israéliennes continuent
Conflit israélo-palestinien : Netanyahou pris en étau entre son électorat et les pressions américaines
Alors que le conflit entre Israël et Gaza entre dans sa deuxième semaine, le secrétaire d’État américain Anthony Blinken a élevé la voix contre son allié hébreu. Mais Benyamin Netanyahou a besoin de se maintenir au pouvoir.
Offensive turque contre les Kurdes : « L’accord entre la Russie et la Turquie, c’est la victoire de Bachar al Assad »
A Sotchi, six heures de négociations… et un « accord historique », s’est félicité le président turc Recep Tayyip Erdogan. Mardi, Ankara et la Russie ont trouvé un accord sur l’avenir de la frontière turco-syrienne. Ce texte, qui met un terme à l’offensive turque sur les populations kurdes, porte aussi en lui l’espoir d’une stabilisation de la région.
20 Minutes décortique le dossier avec deux spécialistes, Adel Bakawan, chercheur associé à l’Institut français des relations internationales (Ifri) et membre de l’Institut de recherche et d’études Méditerranée Moyen-Orient (iReMMO) et Karim Pakzad, spécialiste du Moyen-Orient et chercheur à l’Institut des relations internationales et stratégiques (Iris).
Israël/Palestine : échec en vue pour le plan Kushner ?
A peine énoncé, le plan du gendre de Donald Trump sur le conflit israélo-palestinien a peu de chances de voir le jour.
«Beaux, nouveaux et intelligents» : quels sont les missiles dont parle Trump
Le président américain a promis qu’il frapperait le sol syrien, vantant la qualité des missiles de son armée. « La Russie jure d’abattre n’importe quel missile tiré sur la Syrie. Que la Russie se tienne prête, car ils arrivent, beaux, nouveaux et intelligents ! »
Attaques chimiques: comment la France peut frapper la Syrie
Suite aux attaques chimiques à Douma, Emmanuel Macron et Donald Trump multiplient les échanges en vue de frappes conjointes sur le régime syrien. Le scénario le plus probable verrait l’utilisation de missiles Tomahawk et Scalp, voire le nouveau missile de croisière naval (MDcN) français. Frapperont, frapperont pas ?
«En Syrie, Poutine n'est pas le seul à décider»
Le Président russe doit compter avec l’Iran, la Turquie et Bachar el-Assad, qu’il ne contrôle pas toujours. Analyse, dans ce «talk stratégique», de Tatiana Kastouéva-Jean, spécialiste de la Russie à l'Institut français des relations internationales.
Erdogan appelle les musulmans à reconnaître Jérusalem-est comme capitale de la Palestine
Lors du sommet extraordinaire de l'Organisation de la Coopération islamique (OCI), à Istanbul, le président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé à reconnaitre Jérusalem-est comme capitale de la Palestine.
Égypte : les conséquences sociales et politiques d’une économie très dégradée.
On parle à juste titre de la politique intérieure égyptienne, on ne traite pas assez des conséquences de la politique du « tout-répression » contre les Frères musulmans (qui réserve sans doute des surprises dans les prochaines années), on n’évoque guère l’état de l’économie.
“En presque six ans de guerre en Syrie, la Russie a toujours soufflé le chaud et le froid”
Après six veto, Moscou a voté lundi 19 décembre la résolution du Conseil de sécurité permettant l’envoi d’observateurs à Alep. Les “surprises” font partie de la stratégie russe, explique Julien Nocetti, chercheur au Centre Russie/NEI de l'Ifri.
Alep : Pourquoi la Russie a finalement accepté la résolution de l’ONU ?
Un non ferme, qui s’est finalement transformé en oui. La Russie, qui soutient le régime du président syrien Bachar al-Assad, a finalement voté la résolution de l’ONU ce lundi, visant à déployer des observateurs onusiens à Alep pour y superviser les évacuations et évaluer la situation des civils. Elle avait annoncé dans un premier temps son intention d’y opposer son véto. 20 minutes analyse ce revirement.La Russie avait menacé d’y opposer son veto. « Nous ne pouvons laisser voter ce texte car c’est un désastre », a ainsi déclaré, dimanche, Vitali Tchourkine, l’ambassadeur russe à l’Onu. Il a estimé le plan français « impraticable et dangereux ». « Nous n’avons pas en soi de problème avec quelque sorte de supervision que ce soit », a-t-il déclaré. « Mais l’idée qu’on devrait leur demander [aux observateurs] de parcourir les ruines d’Alep-est sans préparation adéquate et sans informer quiconque de ce qui est en train de se passer équivaudrait à une catastrophe », a-t-il estimé.
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