Burkina Faso : le charme de Poutine
La junte au pouvoir au Burkina Faso a emboîté le pas du Mali en dénonçant les accords de défense avec la France et en opérant un rapprochement avec la Russie. Après avoir annoncé le départ des 400 forces spéciales stationnées depuis 10 ans dans la capitale du Burkina Faso, Paris a annoncé hier le rappel de son ambassadeur à Ouagadougou. Analyse avec Alain Antil, directeur du Centre Afrique subsaharienne de l’Institut français des relations internationales (Ifri).
Mali : le point sur la situation sécuritaire au Sahel
Depuis maintenant dix ans, la France est engagée au Sahel dans la lutte contre les groupes djihadistes aux côtés du Burkina Faso, du Niger, de la Mauritanie, du Tchad et du Mali - pays avec qui cette mission (nommée Serval puis Barkhane), a pris fin en août dernier.
Au Kasaï comme ailleurs en RDC, « le désordre comme art de gouverner » de Joseph Kabila
Analyste pour l’IFRI, Marc-André Lagrange décrypte la stratégie de déstabilisation intérieure mise en place par le régime pour se maintenir au pouvoir.
Les Peuls Mbororo dans le conflit centrafricain
Face aux évolutions sociales et environnementales, les Peuls Mbororo, une population minoritaire en Centrafrique, jouent un rôle spécial dans le conflit centrafricain.
Écosystème des groupes armés en Centrafrique
Depuis 2013, les groupes armés sont les vrais « patrons » de la Centrafrique. L’objet de cette note est de comprendre le déploiement prolifique des groupes armés sur le territoire centrafricain.
Cette prolifération s’explique par l’économie politique du conflit et un espace d’action ou écosystème qui est largement ouvert au lieu d’être réduit ou fermé.
Du désordre comme art de gouverner. La rébellion Kamwina Nsapu, un symbole du mal congolais
Situées dans la partie sud-ouest du pays, les provinces des Kasaï ne font pas partie des zones d’attention de la communauté internationale en République démocratique du Congo.
Centrafrique : pourquoi faut-il encore parler de la Seleka?
Le déroulement pacifique des élections et l’instauration du gouvernement Touadera n’ont pas fait disparaître les groupes armés qui occupent le Nord et l’Est de la Centrafrique. Plus de trois ans après le début du conflit, bien que fragmentée, affaiblie et criminalisée, la Seleka a encore un potentiel déstabilisateur. Ses milliers de combattants pourraient mettre sérieusement en danger le processus de sortie de la crise s’ils ne reçoivent pas un traitement socioéconomique adéquat.
Les Peuls Mbororo dans le conflit centrafricain
Face aux évolutions sociales et environnementales, les Peuls Mbororo, une population minoritaire en Centrafrique, jouent un rôle spécial dans le conflit centrafricain.
Écosystème des groupes armés en Centrafrique
Depuis 2013, les groupes armés sont les vrais « patrons » de la Centrafrique. L’objet de cette note est de comprendre le déploiement prolifique des groupes armés sur le territoire centrafricain.
Cette prolifération s’explique par l’économie politique du conflit et un espace d’action ou écosystème qui est largement ouvert au lieu d’être réduit ou fermé.
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Le déroulement pacifique des élections et l’instauration du gouvernement Touadera n’ont pas fait disparaître les groupes armés qui occupent le Nord et l’Est de la Centrafrique. Plus de trois ans après le début du conflit, bien que fragmentée, affaiblie et criminalisée, la Seleka a encore un potentiel déstabilisateur. Ses milliers de combattants pourraient mettre sérieusement en danger le processus de sortie de la crise s’ils ne reçoivent pas un traitement socioéconomique adéquat.
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