Allemagne : pour l'amour de l'Europe
En levant le tabou de la mutualisation des dettes, la chancelière Angela Merkel rejoint Helmut Kohl au panthéon des grands dirigeants proeuropéens.
« L'absorption de la RDA ne rendait que plus urgent de diluer la nouvelle puissance allemande dans une construction plus ample », résume Paul Maurice, chercheur à l'Institut français des relations internationales.
« Une manière d'être traités sur un pied d'égalité avec la Ceca alors que l'Allemagne, jusqu'en 1955, n'avait pas regagné toute sa souveraineté », précise Paul Maurice.
>> Voir l'article sur le site du Point (réservé aux abonnés).
Média
Partager