Kamala Harris, la première vice-présidente américaine à l'épreuve du pouvoir
La Démocrate a pris en charge des dossiers difficiles.
Cette semaine dans New Deal, lumière sur la vice-présidente américaine Kamala Harris, quelque peu sortie de l'ombre la semaine du 7 juin en accomplissant un voyage officiel au Mexique et au Guatemala.
On sait que Kamala Harris est une vice-présidente inhabituelle: elle est la première femme et première personne de couleur à occuper cette fonction. Et surtout, elle pourrait être la candidate démocrate pour les éléctions présidentielles de 2024 –Biden lui-même l'avait laissé entendre pendant la campagne de 2020. Ses actions et son bilan seront donc regardés à la loupe. Or, la vice-présidente a pris en charge des dossiers très importants et difficiles: celui de l'immigration et celui de la réforme du droit de vote.
Comment va-t-elle s'en tirer? Est-ce un rôle ordinaire pour les vice-présidents? Kamala Harris peut-elle faire partie des vice-présidents qui deviennent présidents par la suite?
Slate.fr s'est associé à la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et à l'Institut français des relations internationales (IFRI) pour suivre l'actualité politique américaine et proposer tous les mercredis le podcast New Deal, avec Laurence Nardon, responsable du programme Amérique du Nord de l'IFRI, et Romain Dessal, fondateur de TTSO.
Média
Partager