L’économie gabonaise traverse une zone de fortes turbulences
La crise politique post-électorale affaiblit ce pays pétrolier déjà frappé par la chute des cours de l’or noir et une baisse de rendement de ses gisements.
Ali Bongo Ondimba, le président gabonais récemment réélu dans le bruit et la fureur, rêvait que la zone économique spéciale de Nkok soit le reflet de l’économie nationale : créatrice d’emplois industriels et de services, innovante, technologique, écologique… Hélas, à ce jour, ce n’est qu’un îlot de dynamisme posé au milieu d’un océan économique déprimé par l’effondrement des cours de l’or noir dans ce pays qui s’est trop longtemps reposé sur ses rentes pétrolières.
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