Netflix, Disney+... le renouveau du soft power américain?
Après Netflix, Hulu et Amazon Prime Video... Ce 12 novembre, aux États-Unis, Disney a lancé Disney+, sa nouvelle plateforme de vidéo à la demande –composée des classiques de Disney, de séries TV mais aussi des franchises comme Marvel et Star Wars. Avec un abonnement mensuel de 7 dollars, Disney+ se place comme un concurrent direct à Netflix et ses 158 millions d'abonnés.
L'arrivée de cette nouvelle plateforme poursuit la mutation de la pratique des consommateurs, qui se détournent à la fois des salles de cinéma et des chaines de télévision. De fait, en 2018, le nombre d'abonnés à des plateformes de streaming dépasse le nombre d'abonnés à des chaines câblées: 613 millions contre 556 millions.
Quelle est la place du cinéma hollywoodien dans ce nouveau paysage audiovisuel dominé par le streaming? Le cinéma doit-il s'adapter au format Netflix?
Pour suivre la course à la présidentielle américaine, Slate.fr s'est associé à la newsletter «Time to sign off» (TTSO) et à l'Institut français des relations internationales (Ifri) pour proposer tous les mercredis le podcast Trump 2020, avec Laurence Nardon, chercheuse à l'Ifri et spécialiste des États-Unis et Romain Dessal, fondateur de TTSO.
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