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Les marchés du carbone peuvent-ils faire une percée à la COP29 ?

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Couverture du briefing sur les marchés carbone
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Les marchés volontaires du carbone (MVC) ont un potentiel élevé, notamment pour réduire le déficit de financement de la lutte contre le changement climatique, en particulier en Afrique.

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Reboisement dans les forêts mixtes par plantation de jeunes arbres
Reboisement dans les forêts mixtes par plantation de jeunes arbres
© Dietrich Leppert/Shutterstock
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Ces dernières années ont toutefois été marquées par une série ininterrompue de controverses, les projets volontaires étant accusés de manquer de transparence, d’avoir peu ou pas d’effet d’atténuation, voire de conduire à des violations des droits de l’homme, causant la chute des investissements.

Le potentiel des marchés volontaires du carbone reste élevé, avec ou sans accord lors de la COP 29. Les attentes d’acteurs tels que les pays africains ou la région du Golfe sont fortes. Ils investissent des ressources importantes dans le développement de nouvelles organisations et de nouveaux mécanismes susceptibles de partager les marchés du carbone de demain.

Les MVC doivent améliorer leur transparence et leur intégrité, mieux démontrer leurs avantages en matière de développement durable et fournir des données solides et convaincantes concernant leur impact sur le changement climatique.

 

> Cette publication est uniquement disponible en anglais:  Can carbon markets make a breakthrough at COP29?
 

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ISBN / ISSN

979-10-373-0934-1

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Thibaud VOÏTA

Intitulé du poste

Ancien chercheur associé, Centre énergie et climat de l'Ifri

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Énergie et Climat
Centre énergie et climat
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Le Centre énergie et climat de l’Ifri mène des activités et recherches sur les enjeux géopolitiques et géoéconomiques des transitions énergétiques. Il travaille à la fois sur les enjeux de sécurité énergétique, de compétitivité, de maîtrise des chaînes de valeur, et d'acceptabilité. Spécialisé dans l’étude des politiques européennes de l’énergie et du climat, et des marchés de l’énergie en Europe et dans le monde, ses travaux portent aussi sur les stratégies énergétiques et climatiques des grandes puissances comme les Etats-Unis, la Chine ou l’Inde. Il offre une expertise reconnue, enrichie de collaborations internationales et d'événements à Paris et à Bruxelles, notamment.

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IA, centres de données et demande d'énergie : quelles tendances ?

Date de publication
24 février 2025
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Le secteur des technologies de l’information et de la communication représente aujourd’hui 9 % de la consommation mondiale d’électricité, les centres de données (data centers) 1 à 1,3 % et l’intelligence artificielle (IA) moins de 0,2 %. La demande croissante d’énergie du cloud d’abord, et maintenant de l’IA (10 % de la demande d’électricité des data centers aujourd’hui), a exacerbé cette tendance. À l'avenir, les centres de données à grande échelle gagneront du terrain parmi tous les types de centres de données et l'IA représentera probablement environ 20 % de la demande d'électricité des centres de données d'ici à 2030.

Laure de ROUCY-ROCHEGONDE Adrien BUFFARD
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Accélération de la transition énergétique de l’Inde : le défi de la flexibilité des réseaux au cœur des enjeux

Date de publication
20 février 2025
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L’Inde augmente rapidement sa capacité en énergies renouvelables (EnR), ajoutant 15 à 20 GW par an, mais l’objectif ambitieux de 500 GW de capacité non fossile d’ici 2030 est menacé si le rythme de déploiement des EnR ne s’accélère pas. 

Akul RAIZADA
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Pétrole : incertitudes et perspectives divergentes à moyen et long termes

Date de publication
30 janvier 2025
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La crise du marché pétrolier en 2014 a débouché sur une reprise en main du marché par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). Celle-ci s’est mise d’accord sur une diminution des quotas de production de tous ses membres, notamment les pays du Moyen-Orient et l’organisation s’est alliée à d’autres producteurs, principalement la Russie, au sein de l’alliance dite « OPEP+ ». Son pouvoir de marché s’est confirmé à l’occasion de la pandémie, après un éclatement temporaire de l’alliance élargie.

Olivier APPERT Denis BABUSIAUX
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France-Allemagne : un sursaut dans l’énergie est indispensable

Date de publication
21 janvier 2025
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La France et l’Allemagne doivent surmonter leurs désaccords et travailler ensemble pour limiter les coûts de la transition et renforcer la sécurité énergétique. La complémentarité, plutôt que l’uniformisation des trajectoires, doit être recherchée. Un nouveau départ peut avoir lieu en 2025 à la suite des élections allemandes et implique plus de flexibilité et d’efficacité dans la mise en œuvre des objectifs européens, ainsi que l’ancrage systématique du principe de neutralité technologique.

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