Centre Russie/Eurasie
Fondé en 2005 au sein de l’Ifri, le Centre Russie/Eurasie produit de la recherche et organise des débats sur la Russie, l’Europe orientale, l’Asie centrale et le Caucase du Sud. Il a pour objectif de comprendre et d'anticiper l'évolution de cette zone géographique complexe en pleine mutation pour enrichir le débat public en France et en Europe, et pour aider à la décision stratégique, politique et économique.
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Directrice du Centre Russie/Eurasie de l'Ifri
Publications
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Titre Axe de recherche
Économie et société russes
L'axe de recherche Économie et société au sein du Centre Russie/Eurasie de l'Ifri s’intéresse aux questions économiques, y compris l’impact des sanctions occidentales sur l’économie russe, ainsi qu’à l’évolution de la société (démographie, classes moyennes, jeunesse, éducation, oppositions, militarisation, mouvements de contestation…).
Titre Axe de recherche
Politique intérieure russe
L'axe de recherche Politique intérieure au sein du centre Russie/Eurasie de l'Ifri analyse la politique intérieure russe, l’évolution du système politique et des élites, ainsi que leur rapport avec la société.
Titre Axe de recherche
Politique étrangère et défense
L'axe de recherche Politique étrangère et défense au sein du Centre Russie/Eurasie de l'Ifri examine les relations entretenues par la Russie avec les anciennes républiques soviétiques et le reste du monde, notamment l’Occident et la Chine. Une importance particulière est accordée aux questions de défense et de sécurité.
Titre Axe de recherche
Eurasie
L'axe de recherche Eurasie au sein du Centre Russie/Eurasie de l'Ifri analyse les évolutions internes de l'Ukraine, la Moldavie, la Biélorussie, la Géorgie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Turkménistan, le Tadjikistan et le Kirghizistan, ainsi que leurs relations avec la Fédération de Russie et d’autres puissances régionales et globales.
Publications
La Russie après les crises ukrainienne et syrienne
L'intervention en Syrie permet à Moscou d'imposer une nouvelle image de sa puissance : une force qui conteste le rôle central de l'Occident, en s'appuyant sur la modernisation de l'appareil militaire et le soutien de l'opinion. La Russie y a gagné un nouveau rôle, mais la question de base de ses relations avec les pays occidentaux reste ouverte.
Les ressorts de l’intervention russe en Syrie
« On comprend parfaitement que tout ne dépend pas des États-Unis. Une part importante de responsabilité repose sur les épaules d’autres acteurs essentiels dans l’arène internationale, parmi lesquels une place éminente appartient à la Russie.(1) »
Les radicaux de droite dans le conflit russo-ukrainien
Le conflit armé dans le Donbass qui a commencé au printemps 2014 a dès le début attiré les radicaux de droite, Russes comme Ukrainiens. Les groupes ultranationalistes organisés et les activistes isolés ont créé leurs propres formations de volontaires ou ont rejoint des structures déjà existantes.
L’Internet russe : la loi et l’ordre
L’internet russe est de plus en plus sous le contrôle de l’État, que ce soit pour la surveillance de la société, ou pour conforter une souveraineté numérique. Cette innovation n'est-elle pas de mauvaise augure pour les capacités d’innovation du pays dans ce domaine ?
La gouvernance d’internet, entre émancipation contrariée et nouveaux défis
Âprement disputée tant elle cristallise des enjeux complexes, la gouvernance de l’internet est à la croisée des chemins. Entre la prise en compte des mutations technologiques et une nécessaire évolution vers plus de pluralisme et de transparence, elle reste un objet de conflictualité internationale.
Politique russe en Asie : d’une approche bilatérale à une stratégie globale
Dans les priorités stratégiques de la Russie, l’Asie a traditionnellement joué un rôle secondaire par rapport à l’Occident. Le rapprochement de la Russie avec la Chine et l’Inde a été esquissé au milieu des années 90 à l’initiative d’Evguéni Primakov, alors ministre des Affaires étrangères. Cependant, c’est la dégradation des relations entre la Russie et l’Occident en 2014 qui a poussé Moscou à amorcer son grand « tournant vers l’Asie ».
La Russie a-t-elle une grande stratégie au Moyen-Orient ?
En intervenant militairement en Syrie, la Russie n’a pas cherché à s’affirmer comme une puissance hégémonique au Moyen-Orient. Loin de promouvoir l’unilatéralisme, Moscou défend en fait le multilatéralisme. La démonstration de force en Syrie avait notamment pour but de faire comprendre aux États-Unis et à leurs alliés qu’il ne saurait y avoir de négociations
multilatérales dans la région – et au-delà – en excluant la Russie.
La diplomatie russe au Moyen-Orient : retour à la géopolitique
Depuis l’époque soviétique, l’approche russe à l’égard du Moyen-Orient a significativement évolué, passant de la création d’une zone d’influence dans un contexte de confrontation avec l’Occident à une perception fondée essentiellement sur les intérêts économiques et, enfin, à la vision pragmatique actuelle.
La Russie, la Chine et les BRICS : une illusion de convergence ?
Le débat sur les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) oppose deux visions. L'une considère leur rôle croissant dans les relations internationales au détriment de la place de l'Occident ; l'autre considère cette notion comme une chimère. Mais tous s'accordent à dire que Russie et Chine y jouent une interaction primodiale.
Russie : le retour des impératifs de politique intérieure
Tatiana Kastouéva-Jean analyse la politique intérieure russe dans le contexte de la crise économique qui ne sera sans doute pas sans effet sur les résultats des élections législatives de septembre 2016.
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Nos chercheurs : Centre Russie/Eurasie
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