Interventions médiatiques
Nos chercheurs interviennent dans le débat public et apportent leur lumière dans les médias français et internationaux. Retrouvez toutes leurs interventions médiatiques.
Russie. Visite du président Poutine en Israël et dans le reste du Proche-Orient : les intérêts de Moscou dans la région
La visite de Poutine au Moyen-Orient s'inscrit dans un contexte délicat. En effet, le soutien russe à la Syrie suscite une réprobation croissante de la communauté internationale, sans pour autant infléchir la position de Moscou. Il y a également la tentation de conférer un rôle accru à Téhéran sur la scène régionale, tout en procédant à un rapprochement avec Israël. Moscou fut le premier état à reconnaître l'existence de l'état hébreu en 1948, et il semble aujourd'hui que Poutine rejoigne un peu la positon d'Obama qui, après avoir soutenu les révolutions arabes, préfère désormais se rapprocher du plus stable et du plus ancien allié qu'il a dans la région.
Russian internet demonstrates high level of political maturity
How do you assess the Russian internet, in general? Is it different from the English web or not, in political terms?
- First of all, we should make a distinction between the official position on the internet as a political issue for the Russian government, and what happens in domestic terms. In the first case, it's very interesting to observe the desire by the Russian state to get back on the web.
"Vladimir Poutine entend conserver une apparence de légalité"
Paradoxalement, Vladimir Poutine est le principal artisan du succès de la manifestation moscovite hier.
A Rússia é uma imitação de democracia
GENEBRA — A Rússia não é uma ditadura: é um simulacro de democracia. As regras são adaptadas para servir ao presidente Vladimir Putin. É o que diz Tatiana Kastoueva Jean, pesquisadora do Instituto Francês de Relações Internacionais.
Vladimir Poutine cherche à intimider l'opposition
Elle s'appelle « la marche du million ». Mais elle ne devrait pas réunir autant de personnes dans les rues de Moscou. La manifestation, à laquelle appellent aujourd'hui les opposants au régime de Vladimir Poutine, va mesurer leur capacité à encore entraîner l'opinion publique russe après les spectaculaires rassemblements de décembre dernier, qui ont réuni jusqu'à 100 000 personnes dans un froid hivernal.
Le Kremlin cible les réseaux sociaux
Trois mois après la réélection de Vladimir Poutine à la tête de l’Etat russe, le Kremlin multiplie les pressions sur les manifestations de protestation. Mercredi 6 juin, lors d'une manifestation "Occupy Khimki" aux portes de Moscou, 6 militants ont été arrêtés dont Evguenia Chirikova, leader du mouvement.
Le Kremlin a aussi récemment pris pour cible des sites internet « étrangers », accusés de fomenter les manifestations contre le pouvoir. Les mots du conseiller à la sécurité du Président russe, Nikolaï Patrouchev, sont très clairs. « Profitant de la liberté d’internet dans notre pays, les sites étrangers propagent des rumeurs politiques et appellent à des manifestations non autorisées ». Et il ajoute : « la blogosphère russe est également sujette à des influences extérieures qui visent à créer et à entretenir des tensions constantes au sein de la société ».
Pourquoi cette attaque en règle contre internet, maintenant ?
L’analyse d’un spécialiste du sujet, Julien Nocetti, chercheur associé à l’Ifri (Institut français des relations internationales).
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