Gazprom réduit de 40 % ses livraisons par le gazoduc Nord Stream 1
La fourniture de gaz russe a chuté subitement mardi 14 juin. Officiellement, l’opérateur du gazoduc peine à remplacer des pièces du groupe Siemens en cours de réparation au Canada. Le cours du gaz a rebondi de 16 % dans la foulée.
Gazprom, un "État dans l'État" au cœur du régime installé par le président de la Russie dès son arrivée au pouvoir
Le gaz, ou plus exactement Gazprom, groupe tentaculaire employant plus de 400 000 personnes et qui, au-delà de son "coeur de métier" étend ses activités protéiformes de l'industrie au sport, du pétrole à la banque et aux médias. Un véritable "État dans l'État", dont Vladimir Poutine, sitôt nommé premier ministre par Boris Eltsine, en aôut 1999, a entrepris de faire la clé de voûte de son pouvoir.
Bruxelles et Gazprom trouvent un terrain d'entente
Le gazier russe devra faire des concessions pour garantir la concurrence dans les pays d'Europe centrale et orientale, mais il échappe à une amende.
L'Europe toujours plus dépendante du gaz russe
Les exportations de Gazprom vers l'Europe ont battu un nouveau record. Un paradoxe alors que l'UE cherche à réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de Moscou.
Comment la Pologne veut se libérer de Gazprom
Varsovie multiplie les investissements pour importer du gaz du Qatar ou de Norvège. Objectif : mettre fin au contrat d'approvisionnement avec le russe Gazprom dans cinq ans.
Gazprom pourra-t-il se passer de l'Ukraine ?
Les investissements dans Nord Stream et Turkish Stream visent à accéder directement au marché européen, sans passer par le territoire ukrainien. Mais les obstacles économiques, réglementaires et politiques sont multiples.
Brussels risks Russian ire with Gazprom antitrust case
article paru dans le Financial Times du 22 avril 2015
" On ne pourra pas remplacer le gaz russe si facilement "
L'Europe pourrait-elle se passer du gaz russe ? Y a-t-il des pistes de diversification pour l'Europe ? Le gaz américain pourrait-il constituer une option ?
Propos recueillis par Elisabeth Salles
Les relations gazières entre la Russie et l’Ukraine : la cause de toutes les crises ou l’occasion d’un nouveau départ pour 2030 ?
Dix ans après la crise de 2009, les relations gazières entre la Russie et l’Ukraine sont de nouveau à un tournant : les contrats en cours arrivent à expiration le 31 décembre 2019.
Résolution des litiges Gazprom-Naftogaz : un enjeu majeur pour l'avenir des marchés gaziers européens
Le tribunal d’arbitrage de la Chambre de Commerce de Stockholm a finalement rendu ses deux décisions portant sur les litiges qui ont opposé Naftogaz et Gazprom et dont le montant totalisait environ 125 milliards de dollars.
Les relations gazières entre la Russie et l’Ukraine : la cause de toutes les crises ou l’occasion d’un nouveau départ pour 2030 ?
Dix ans après la crise de 2009, les relations gazières entre la Russie et l’Ukraine sont de nouveau à un tournant : les contrats en cours arrivent à expiration le 31 décembre 2019.
Résolution des litiges Gazprom-Naftogaz : un enjeu majeur pour l'avenir des marchés gaziers européens
Le tribunal d’arbitrage de la Chambre de Commerce de Stockholm a finalement rendu ses deux décisions portant sur les litiges qui ont opposé Naftogaz et Gazprom et dont le montant totalisait environ 125 milliards de dollars.
L'équation énergétique polonaise
La Pologne se trouve dans une situation énergétique unique en Europe : 80 % de son électricité est produite au charbon et contrairement à ses voisins, elle n'a pas de centrales nucléaires. Pendant longtemps, seul l'accès au gaz russe lui permettait de couvrir une partie de sa demande significative de gaz, par le biais d'un contrat de long terme entre Gazprom et PGNiG, la société nationale polonaise.
L'université Goubkine : réservoir de cadres pour le secteur pétrolier et gazier
Cette monographie s'inscrit dans le cadre du projet de recherche "Zoom sur les universités russes" qui vise à analyser une série d'établissements d'enseignement supérieur russe (EES). Elle est consacrée à l'Université du pétrole et du gaz Goubkine, située à Moscou.
Gazprom réduit de 40 % ses livraisons par le gazoduc Nord Stream 1
La fourniture de gaz russe a chuté subitement mardi 14 juin. Officiellement, l’opérateur du gazoduc peine à remplacer des pièces du groupe Siemens en cours de réparation au Canada. Le cours du gaz a rebondi de 16 % dans la foulée.
Gazprom, un "État dans l'État" au cœur du régime installé par le président de la Russie dès son arrivée au pouvoir
Le gaz, ou plus exactement Gazprom, groupe tentaculaire employant plus de 400 000 personnes et qui, au-delà de son "coeur de métier" étend ses activités protéiformes de l'industrie au sport, du pétrole à la banque et aux médias. Un véritable "État dans l'État", dont Vladimir Poutine, sitôt nommé premier ministre par Boris Eltsine, en aôut 1999, a entrepris de faire la clé de voûte de son pouvoir.
Bruxelles et Gazprom trouvent un terrain d'entente
Le gazier russe devra faire des concessions pour garantir la concurrence dans les pays d'Europe centrale et orientale, mais il échappe à une amende.
L'Europe toujours plus dépendante du gaz russe
Les exportations de Gazprom vers l'Europe ont battu un nouveau record. Un paradoxe alors que l'UE cherche à réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de Moscou.
Comment la Pologne veut se libérer de Gazprom
Varsovie multiplie les investissements pour importer du gaz du Qatar ou de Norvège. Objectif : mettre fin au contrat d'approvisionnement avec le russe Gazprom dans cinq ans.
Gazprom pourra-t-il se passer de l'Ukraine ?
Les investissements dans Nord Stream et Turkish Stream visent à accéder directement au marché européen, sans passer par le territoire ukrainien. Mais les obstacles économiques, réglementaires et politiques sont multiples.
Brussels risks Russian ire with Gazprom antitrust case
article paru dans le Financial Times du 22 avril 2015
" On ne pourra pas remplacer le gaz russe si facilement "
L'Europe pourrait-elle se passer du gaz russe ? Y a-t-il des pistes de diversification pour l'Europe ? Le gaz américain pourrait-il constituer une option ?
Propos recueillis par Elisabeth Salles
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