Les enjeux de la crise ukrainienne
Interventions médiatiques
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Accroche
Avant toute chose, il faut souligner la forte part d’émotivité de la diplomatie russe, qui remonte à la crise du Kosovo en 1998, et qui se greffe aux considérations politiques et stratégiques. Alors que nous pensions que le Kremlin s’attachait à développer une politique de « soft power », que l’organisation des jeux Olympiques de Sotchi devait parachever, afin de présenter la Russie comme un pays moderne, ce nouveau sursaut d’irrationalité est advenu. Pourquoi ?
Auteurs
Photo
Julien NOCETTI
Intitulé du poste
Chercheur associé, Centre Russie/Eurasie et Centre géopolitique des technologies de l'Ifri
