Afrique du Nord et Moyen-Orient
Analyse de l’évolution des dynamiques dans la région Afrique du Nord/Moyen-Orient dans un contexte de multiplication des crises sécuritaires et de leurs conséquences politiques, économiques et énergétiques.
Sujets liés
Guerre d'Ukraine : où en est l'économie russe ?
L'économie russe a résisté à la guerre et aux sanctions occidentales : elle a maintenu ses exportations, son tissu d'entreprises a démontré un clair dynamisme et la population tient en partie grâce aux dépenses de l'État.
L'éviction de l'Europe du Moyen-Orient
Le Moyen-Orient est en ébullition. Cette agitation se traduit par des accès de colère populaire, en Irak et au Liban, à travers lesquels les manifestants appellent à la relève de leurs dirigeants jugés corrompus et incapables. Elle se manifeste par des conflits sans perspective de règlement, en Syrie et au Yémen, qui ont favorisé l'intervention de la Turquie, de la Russie et de l'Iran.
RAMSES 2021. Le grand basculement ?
Pour sa 38e édition, trois questions majeures sont abordées dans le RAMSES 2021. Santé/Climat : COVID-19, et maintenant ? : Le virus est emblématique de la mondialisation : nul ne contrôle ni ne maîtrise sa circulation. Qui gouverne ? Il n'y a pas de gouvernance spécifique du "transversal", des questions mondialisées : santé, environnement, techniques informationnelles... Europe : se refaire ou se défaire : Comme toujours, le bilan européen est en demi-teinte : pâle et décisif, inévitable. Se refaire ou se défaire, se penser comme projet politique ou vivoter comme simple filet de sécurité : voilà l’option qui est devant la Conférence sur l’avenir de l’Europe. Monde arabe : 10 ans après le faux printemps : La décennie post-printemps et la crise du coronavirus vont dans le même sens : renforcement du contrôle sur les sociétés, aggravation du poids des régimes autoritaires, situation économique catastrophique, division profonde de sociétés en révolte.
DOSSIER RAMSES 2021 : Monde arabe : 10 ans après le faux printemps
La décennie post-printemps et la crise du coronavirus vont dans le même sens : renforcement du contrôle sur les sociétés, aggravation du poids des régimes autoritaires, situation économique catastrophique, division profonde de sociétés en révolte.
Les conséquences du COVID-19 pour Israël et les Territoires palestiniens. Une accélération de l’Histoire ?
Bien qu’une deuxième vague de contaminations touche Israël depuis le début du mois de juin, la gestion centralisée et efficace de la pandémie de COVID-19 y a été largement saluée, tout comme dans les Territoires palestiniens où une catastrophe sanitaire a été évitée.
L'Arabie Saoudite face au COVID-19 : l'ambition contrariée
Comptabilisant 59 854 cas officiels et 329 décès dus au COVID-19 en date du 20 mai 2020, l’Arabie Saoudite se place au troisième rang des plus grands foyers d’infection au Moyen-Orient après la Turquie et l’Iran. Comme ses voisins du Golfe, le Royaume enregistre cependant l’un des taux de mortalité les plus faibles de la région, malgré l’exposition du pays aux risques de contagion.
Le Liban face à l’épidémie du COVID-19 : une catastrophe de plus ?
Au Liban, la propagation du COVID-19 reste relativement limitée. À la mi-avril, le pays a enregistré 670 infections et 21 décès pour une population d’environ 7 millions d’habitants.
Moyen-Orient : l'économie dans la course à la puissance
La géopolitique du Moyen-Orient connaît aujourd’hui des changements structurels : l’ordre régional est en transition, dans le sillage des printemps arabes, qui ont ébranlé la gouvernance autoritaire et libéré la compétition de puissance, sur fond de retrait américain.
Les économies du Golfe et la transition énergétique
Les économies des pays du golfe Arabo-Persique sont très dépendantes du pétrole qu’elles exportent surtout vers l’Asie.
Le Golfe, de la géopolitique à la politique tout court
Le golfe Arabo-Persique est un golfe de l’océan Indien, qui s’étend sur près de 1 000 kilomètres entre la Péninsule arabique et l’Iran.
Le Golfe : nouveau centre du Moyen-Orient ?
Le golfe Arabo-Persique et ses riverains s’imposent au cœur du Moyen-Orient, à un moment où le jeu des grandes puissances s’y redistribue.
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.