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Europe

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L'Europe est entendue ici dans son acception géographique. Elle ne se limite pas à l'Union européenne, et inclut par exemple le Royaume-Uni ou les Balkans. Elle reste centrale dans les relations internationales.

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Drapeau de l’UE devant le bâtiment du Parlement européen. Bruxelles, Belgique
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Date de publication
avril 2024

L'industrie solaire photovoltaïque européenne : ultime déclin ou espoir de renaissance ?

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Chaine de fabrication de panneaux solaires
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Chaine de fabrication de panneaux solaires
Credits : © IM Imagery/Shutterstock.com
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Alors que les installations solaires photovoltaïques sont en plein essor en Europe (et dans d'autres parties du monde), les industries locales mettent la clé sous la porte. Au cours des deux dernières années, la capacité solaire photovoltaïque installée en Europe a été multipliée par deux. De l’autre côté, les derniers fabricants européens de panneaux solaires photovoltaïques sont en train de disparaître.

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Après le Brexit, l'Europe doit-elle encore légiférer sur la qualité des bananes ?

28 juin 2016
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"Depuis cinq ans, le principe de subsidiarité est remis énormément en avant à l'initiative des Néerlandais et des Britanniques", remarque Vivien Pertusot, chercheur et responsable de l'Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

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La nouvelle géographie des pouvoirs en Europe

27 juin 2016
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« Le changement de l’équilibre des forces au sein du Conseil et plus généralement dans les institutions européennes dépendra beaucoup des sujets et du degré d’activisme passé des Britanniques sur chacun d’entre eux. Ils ont été très actifs sur certains thèmes, sur d’autres beaucoup moins », explique Vivien Pertusot, responsable de l’Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

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"Je ne crois pas à la contagion de sorties de l'UE"

25 juin 2016
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Dans quel état se trouvent le Royaume-Uni et l’Union européenne au lendemain du Brexit ?
Le Royaume-Uni se réveille très divisé. Il suffit de prendre une carte des résultats pour s’en rendre compte. On voit très clairement qu’il y a deux unions : l’Ecosse, ultra majoritairement pour le « remain », et l’Angleterre et le pays de Galles qui sont majoritairement pour le « leave », à l’exception des grandes métropoles, dont Londres.

L’euroscepticisme a gagné beaucoup de pays européens. Le Brexit peut-il avoir un effet domino ?
Je ne crois pas à la contagion de sorties de l’Union européenne. Par contre, il va y avoir une contagion de la critique européenne. Et c’est sain. Le projet européen n’est pas parfait. Il faut le critiquer. Mais les Le Pen et autres ne représentent pas la majorité dans leurs pays. Et je pense que si l’on organisait un référendum du même type aux Pays-Bas ou en France, le « remain » l’emporterait.

Pourquoi ?
La critique de l’UE traverse quasi tous les Etats membres. Mais il n’y a pas une hostilité généralisée envers l’Union européenne, comme c’est le cas en Angleterre.

Ni contagion ni électrochoc. Quelle est la perspective, alors ? La paralysie ?
C’est le grand débat. Soit on saisit l’opportunité des négociations qui vont s’ouvrir avec le Royaume-Uni – qui vont prendre au moins deux ans – pour lancer un débat transnational sur les projets que l’on a envie de mener ensemble. Sans forcément changer les traités. Soit on rentre dans une forme d’apathie politique. Un trop-plein de crises.

On ne voit pas qui peut ou veut prendre le leadership…
Je suis régulièrement critique sur la relation franco-allemande au niveau européen. Ça peut être utile qu’ils se parlent. Mais ce n’est pas suffisant. Il est nécessaire pour la France comme pour l’Allemagne de prendre conscience de ce qu’est l’Europe du XXIe siècle : une Union où il n’y a pas que les pays fondateurs. Il serait extrêmement contre-productif qu’une initiative soit portée uniquement par ces pays. Il faudra certes l’Allemagne et la France, mais aussi, par exemple, un pays de chaque vague d’élargissement. C’est cette diversité qui reflète l’Union d’aujourd’hui. 

 

Retrouvez l'entretien dans son intégralité ci-dessous. 

 

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Les jeunes Britanniques sont-ils aussi europhiles qu'on le dit ?

24 juin 2016
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“Les Britanniques ont depuis le départ noué une relation contractuelle plus que sentimentale avec l’UE. Et cette vision pragmatique est largement diffusée dans la société”, relève Vivien Pertusot de l’Ifri.

Les jeunes Anglais sont aussi moins incités à partir à l’étranger, notamment du fait de leurs lacunes en langues. Dans le système éducatif britannique,  l’encouragement à apprendre une seconde langue est souvent plus faible que la moyenne européenne, et l’apprentissage des langues y est globalement en déclin.

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Brexit : les leçons d'un cataclysme

24 juin 2016
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Prendre la mesure du tremblement de terre qui vient de se produire consiste d’abord à en mesurer la gravité. Cela suppose ensuite ne pas y apporter de fausses et insuffisantes réponse. Triomphe de la peur portée par les populistes, défaite de la raison défendue sans talent et inspiration par les partisans du statut-quo, révolte des « petits » contre les « nantis », début de la désintégration d'une Europe victime de sa bureaucratisation et de son manque d'incarnation. Toutes ces explications contiennent une part de vérité et contribuent, chacune à sa manière, à expliquer le tsunami politique qui vient de se produire.
 
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Jour J-1 à Londres : Bruxelles retient son souffle

22 juin 2016
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Un Brexit ouvrirait la voie à deux ans de tractations, minimum. Et en attendant ?« C'est le grand flou », commente Vivien Pertusot, de l'Institut français des relations internationales à Bruxelles. Les eurodéputés britanniques continueront de siéger et de voter sur tout, hormis sur les négociations les concernant. « Et le commissaire britannique Jonathan Hill, en charge des services financiers, pourrait garder son poste jusqu'aux élections de 2019... Ubuesque ! »

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Brexit: ne craignons pas la contagion

20 juin 2016
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Les voix se multiplient en France et à l’étranger pour exprimer la peur d’une contagion en cas de Brexit. Qui serait le prochain à prendre la poudre d’escampette ? Cette lecture ignore la réalité des débats nationaux sur l’Union et, plutôt que de songer à la crainte d’un effet domino, il faudrait accueillir l’effet de contagion de la critique de l’Union. C’est une opportunité à saisir tant l’Union européenne (UE) n’est pas débattue et les seuls arguments la concernant sont laissés à ses opposants.

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Brexit : Le retrait de l’Union européenne se ferait pas à pas

19 juin 2016
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La consultation historique de jeudi 23 juin dans le Royaume-Uni oblige l’Union européenne à se projeter dans l’hypothèse très plausible du départ d’un État, pour la première fois de son histoire. L’occasion de se réinventer ? « Si le Royaume-Uni sort, Bruxelles mettra en place une stratégie d’autodéfense. Il s’agit de ne pas être conciliant, d’imposer une ligne dure, afin d’éviter les contagions » explique Vivien Pertusot. 

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" L'Union européenne survivra-t-elle ? " Par Thierry de Montbrial, président de l'Ifri

16 juin 2016
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Discours prononcé par Thierry de Montbrial, fondateur et président de l'Ifri, lors de l'assemblée générale de l'Ifri, du 1er juin 2016.

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Brexit : panique dans le camp du « in »

16 juin 2016
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Les derniers sondages ont eu l'effet d'une petite bombe dans la campagne du référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne. Depuis une semaine, la majorité des enquêtes donnent le camp pro-Brexit en tête, ce qui force ses adversaires à mettre les bouchées doubles dans une campagne qui peine à convaincre l'électorat. L'analyse de Philippe Moreau Defarges, chercheur à l'Institut français des relations internationales (IFRI) et professeur à l'Institut d'études politiques de Paris.

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Conférence Ramses 2024
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Drapeaux France, Autriche, Union Européenne
Centre franco-autrichien pour le rapprochement en Europe (CFA)
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Le Centre franco-autrichien pour le rapprochement en Europe (CFA/ÖFZ) est une organisation intergouvernementale franco-autrichienne, initiée en 1976 par le Premier ministre Jacques Chirac et le chancelier fédéral Bruno Kreisky, afin de développer les relations économiques entre l’Europe de l’Ouest et l’Europe de l’Est, et contribuer à créer une Europe de la paix.

 

Après la chute du Mur de Berlin, le CFA a recentré son action sur les problèmes de l’élargissement de l’Union européenne (UE) et intégré dans son champ d’activité le Hongrie et la Pologne, les Républiques tchèque et slovaque, la Slovénie, les Pays baltes, ainsi que la Roumanie et la Bulgarie. La vocation du CFA comme espace de réflexion et d’échange se trouve en effet renforcée par le besoin d’accompagnement des nouveaux pays membres de l’Union dans leur processus d’intégration. Depuis 2004, le CFA se tourne également vers les nouveaux voisins de l’Union, en particulier vers les pays des Balkans de l’ouest, qui envisagent leur avenir dans une perspective européenne.

 

Le CFA s’efforce d’inscrire l’ensemble de ses échanges dans une perspective globale concernant l’avenir de notre continent. Il centre aujourd’hui ses activités autour de trois directions : le dialogue bilatéral franco-autrichien, l’avenir de l’UE, la future recomposition du continent.

 

Les comptes rendus de toutes les manifestations organisées par le CFA sont disponibles sur son site (http://oefz.at). Le budget du CFA est assuré par les ministères des Affaires étrangères français et autrichien. En fonction des thèmes abordés, le CFA fait appel à des institutions publiques et privées européennes pour contribuer au financement de ses rencontres.

 

Les orientations du CFA bénéficient des préconisations d’un Conseil d’orientation, approuvées par un Conseil de direction, qui élit parmi ses membres un président et un secrétaire général. 

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La Pariser Platz (place de Paris), du côté est de la porte de Brandebourg à Berlin, Allemagne
Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa)
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Le Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) a été créé en 1954 par un accord intergouvernemental entre la République fédérale d’Allemagne et la France, afin de mieux faire connaître l'Allemagne en France et analyser les relations franco-allemandes y compris dans leurs dimensions européennes et internationales. Dans ses conférences et séminaires, qui réunissent experts, responsables politiques, hauts décideurs et représentants de la société civile des deux pays, le Cerfa développe le débat franco-allemand et suscite les propositions politiques. Il publie régulièrement des études à travers deux collections : les « Notes du Cerfa » et les « Visions franco-allemandes ». 

Le Cerfa entretient des relations étroites avec le réseau des fondations et des think tanks allemands. En plus de ses activités de recherche et de débat, le Cerfa promeut l’émergence d’une nouvelle génération franco-allemande à travers des programmes de coopération originaux. C'est ainsi qu'en 2021-2022, le Cerfa a conduit un programme sur le multilatéralisme avec la Fondation Konrad Adenauer de Paris. Ce programme s'adresse à des jeunes professionnels des deux pays intéressés par les enjeux du multilatéralisme dans le contexte de leurs activités. Il a couvert une large gamme de thèmes relatifs au multilatéralisme, tel que le commerce international, la santé, les droits de l’homme et la migration, la non-prolifération et le désarmement. Auparavant, le Cerfa avait participé au dialogue d’avenir franco-allemand, co-piloté de 2007 à 2020 avec la Deutsche Gesellschaft für auswärtige Politik (DGAP) et soutenu par la Fondation Robert Bosch, ou encore le groupe Daniel Vernet (anciennement Groupe de réflexion franco-allemand) qui avait été fondé en 2014 à l’initiative de la Fondation Genshagen.

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Drapeau de l’UE devant le bâtiment du Parlement européen. Bruxelles, Belgique
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