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Russie

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La Russie s'affirme comme une puissance impériale. Isolée depuis son invasion de l’Ukraine, elle cherche à renforcer ses liens avec des pays non-occidentaux. À l'intérieur, le régime de Vladimir Poutine se durcit.

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Les relations franco-russes s’exposent à Versailles

28 mai 2017
Accroche

Après un quinquennat Hollande où les relations entre Moscou et Paris se sont tendues, le président Macron reçoit ce lundi Poutine à l’occasion d’une exposition au Grand Trianon. Syrie, Ukraine, affaire Ioukos, MacronLeaks… Des dossiers chauds sont sur la table.

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La Croix

Les relations avec la Russie

03 mai 2017
Accroche

Redevenue centrale après l’annexion de la Crimée en 2014, la question des relations avec la Russie est restée relativement en marge du débat en France, sans pour autant en être absente. Le prochain président, quel qu’il soit, héritera de relations franco-russes passablement dégradées, marquées par des sanctions et des contre-sanctions liées à l’intervention russe en Ukraine, ainsi que de différends sur le dossier syrien étalés au Conseil de sécurité de l’ONU.

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Manifestations interdites en Russie : les opposants jonglent avec la loi

19 avril 2017
Accroche

En Russie, alors que la prochaine élection présidentielle est prévue début 2018, l’opposition a déjà commencé à se mobiliser. Mais le droit de manifester est strictement encadré et extrêmement restreint. Les opposants au président Poutine font donc preuve d'inventivité pour parvenir à se faire entendre et à mobiliser. Reportage de nos correspondants.

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Présidentielle: Les ambitions de Vladimir Poutine pour la campagne électorale française

30 mars 2017
Accroche

Après les Etats-Unis, la Russie est-elle en train de s’attaquer à la politique française ? C’est ce qu’a affirmé ce jeudi Richard Burr, le sénateur américain chargé de mener l’enquête sur l’ingérence de la Russie pendant les élections américaines. A moins de trois semaines des élections françaises, l’Amérique donne l’alerte.

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France Culture
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Russie : "démocrature" ou dictature ?

28 mars 2017
Accroche

Des dizaines de milliers de Russes ont manifesté dimanche, contre la corruption. Plus d’un millier de personnes ont été arrêtées, dont l’opposant Alexeï Navalny, qui a été condamné, dès hier, à 15 jours de détention. Un mouvement de protestation rare en Russie, qui a donc été réprimé.

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« Poutine pense que Le Pen jouera un rôle politique majeur en France dans les prochaines années »

24 mars 2017
Accroche

Marine Le Pen a été reçue vendredi au Kremlin par Vladimir Poutine. En consentant cette entrevue, le président russe permet à la candidate du Front national de se doter d'une stature internationale. Pour Marine Le Pen, c'est une consécration.

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"La Russie souhaite que la France revienne à son héritage gaullien"

17 mars 2017
Accroche

François Fillon, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon... Les partisans d'un rapprochement de la France avec la Russie de Vladimir Poutine sont nombreux, parmi les candidats à la présidentielle. A la tête de l'Association dialogue franco-russe, le député Thierry Mariani (Les Républicains) s'est rendu à Moscou jeudi 16 et vendredi 17 mars pour plaider en faveur d'une plus grande coopération entre les deux pays. La lutte contre le terrorisme, les intérêts économiques des entreprises françaises sur place, mais aussi les liens historiques et culturels sont mis en avant par les défenseurs d'une ligne Moscou-Paris.

 

Russie - Thomas Gomart et Tatiana Kastouéva-Jean auditionnés par le Sénat

16 février 2017
Accroche

La Russie : élément de stabilisation ou de déstabilisation du système international ?

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L'arrivée de Trump peut-elle aggraver la crise en Ukraine?

06 février 2017
Accroche

Les signaux d'accommodement envoyés à la Russie par le 45e président des Etats-Unis ont probablement contribué à l'escalade de violence dans l'est de l'Ukraine depuis une semaine. Voici pourquoi.

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"Il est dans la culture de l’establishment russe d’avoir des dossiers compromettants"

11 janvier 2017
Accroche

La Russie serait en possession d’éléments compromettants, financiers et personnels, sur Donald Trump. On ne sait pas encore si ces documents sont authentifiés mais est-ce, selon vous, plausible ?

Il est tout à fait logique de supposer que la Russie prépare des dossiers compromettants sur différentes personnalités, en faisant l’arbitrage par la suite entre les dossiers qu’elle utilisera et ceux dont elle ne fera rien. Il est dans la culture de l’establishment russe d’avoir des dossiers compromettants, on les appelle les “kompromat”. Comme on dit en Russie, tout le monde détient des “kompromat” contre tout le monde.

À quelles fins Vladimir Poutine pourrait-il avoir besoin d’un dossier sur Donald Trump ?

En l’état actuel des choses, il n’en a pas besoin. L’élection de Trump est vue comme une bonne chose pour la Russie. Les “kompromat”, dans la pratique russe, ne sont pas préparés pour utilisation immédiate. Ils sont mis dans un placard jusqu’au jour où l’on en aura besoin. Leur utilisation peut être aussi inattendue et anecdotique. Vladimir Poutine aurait fait venir un chien dans la pièce où il rencontrait Angela Merkel pour lui faire peur, sachant pertinemment qu’elle craignait ces animaux : cela figurait dans ses dossiers secrets.

En quoi l’élection de Donald Trump sert-elle les Russes, selon eux ?

Hillary Clinton est assez prévisible, pour Moscou. Elle et Vladimir Poutine se connaissent, on sait très bien quel est l’état de leurs relations : elles ont été émaillées d’incidents, dont un assez misogyne. Les deux dirigeants ne se vouent pas un amour immodéré. Face à cela, l’incertitude autour de Donald Trump, qui a eu des déclarations flatteuses vis-à-vis de Vladimir Poutine, a été interprétée en sa faveur. La Russie souhaitait sa victoire et, en même temps, donnait l’impression de ne pas y croire. Les propagandistes avaient préparé les discours, dans lesquels ils faisaient valoir que l’establishment américain avait tout fait pour voler l’élection de Donald Trump. Or, il a été élu, ce qui a constitué une surprise. Paradoxalement, la victoire de ce candidat, qui n’est pas issu de l’establishment, qui défend les classes moyennes contre l’élite corrompue, correspond au discours des opposants au régime de Vladimir Poutine. Sera-t-il un bon exemple ou jouera-t-il contre lui ? Il y a aujourd’hui beaucoup d’incertitudes. Les premiers pas compteront beaucoup, après des débuts extrêmement houleux, avec les scandales liés aux cyberattaques ou aux dossiers compromettants. Beaucoup va dépendre de la première rencontre entre les deux hommes.

La Russie en attend une baisse de l’activisme américain sur la scène internationale, qui lui donnerait plus de marge de manœuvre. En même temps, elle espère montrer au monde entier ce que vaut la démocratie américaine et qu’il ne faut pas l’exporter. L’objectif à atteindre est double.

Comment a-t-on accueilli, à Moscou, la nomination à la tête de la diplomatie de Rex Tillerson (qui a été décoré de l’ordre de l’Amitié par Vladimir Poutine en 2012), puis celle au renseignement national de Dan Coats (qui est interdit de séjour en Russie depuis 2014) ?

L’équipe de Trump n’a rien de cohérent, elle compte des gens de bords presque opposés par rapport à la Russie. On verra aussi quelle sera la réaction du parti républicain qui n’est pas du tout prorusse ; Trump n’est pas indépendant du parti. Sa politique ne s’inscrira pas dans les extrêmes, ni dans un sens ni dans l’autre, selon moi. Comment l’équilibre se fera-t-il ? On ne sait pas encore. Les réactions face à ces nominations sont en tout cas plus que retenues. Les Russes ne veulent pas du tout alimenter la thèse selon laquelle ils se sont ingérés dans les élections américaines. Si cela a été fait, cela a été fait, pas la peine de pousser plus loin. Le mieux est de se tenir à l’écart. Ils risqueraient de mettre en danger Donald Trump s’ils faisaient des déclarations spectaculaires qui pourraient porter atteinte à sa légitimité.

Quelles sont les attentes plus spécifiques de la Russie vis-à-vis des Etats-Unis dans les dossiers internationaux ?

Sur le dossier ukrainien, les Russes s’attendent à ce que Donald Trump mette la pression sur Kiev pour qu’il respecte les accords de Minsk. Sur la Syrie, ils escomptent une coopération plus renforcée dans la lutte contre Daech. Donald Trump a aussi fait des déclarations qui ne peuvent que plaire aux Russes sur la remise en question de l’utilité de l’Otan, qui est une de leurs bêtes noires. Même si le nouveau président ne démantèlera pas l’Alliance, la solidarité transatlantique, avec les nouveaux membres qui ont une histoire liée viscéralement à la peur de la Russie – je parle de la Pologne et des Etats baltes – en sortira affaiblie. Et cela ne peut qu’aller dans le sens des intérêts russes. Moscou nourrit également des attentes liées à l’abandon du Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP), entre l’Europe et les Etats-Unis, qui laisse la Russie à la marge de la nouvelle répartition du monde.

À quelles confrontations pourrait-on s’attendre ?

Les deux précédentes administrations, de George W. Bush et de Barack Obama, ont tenté de faire un “reset” avec la Russie, mais on en revenait quand même à la confrontation. Je n’exclus pas qu’après des débuts prometteurs, on retombe dans une confrontation entre les deux pays au milieu ou à la fin du premier mandat. En tout cas, si Donald Trump fait ce qu’il a dit, la Russie devra redéfinir sa politique étrangère, qui a été beaucoup basée sur l’opposition aux Etats-Unis, sur la présentation d’un pôle alternatif au monde sous domination américaine. Au Moyen-Orient, l’Iran est allié de la Russie. Or, Trump a dit vouloir revoir l’accord sur le nucléaire. Quel positionnement pour Vladimir Poutine si son homologue va jusqu’au bout ? Donald Trump a l’air aussi plus obsédé par la Chine que par la Russie. Quelle place, dès lors, la Russie pourrait-elle trouver entre ces deux grands, elle qui ne représente qu’un peu plus de 2 % de la richesse mondiale ? Le roi ne sera-t-il pas finalement nu, ramené à sa juste valeur par une confrontation qui se dessine et qui le laissera à la marge ? La Russie ne sera-t-elle pas poussée à choisir son camp ? Lequel ? Cela risque d’être un moment de flottement pour elle.

Vladimir Poutine, qui a souffert d’un manque de considération de la part des Etats-Unis, met tout en œuvre pour réaffirmer sa grandeur. Donald Trump a promis de rendre l’Amérique “great again”. Y a-t-il de la place pour ces deux ambitions ?

La compréhension de la grandeur est très différente de part et d’autre. Pour les Russes, il s’agit de s’imposer sur les dossiers internationaux, tandis que, pour Trump, il est plutôt question d’isolationnisme et de rendre le pays grand en interne, en mettant l’accent sur la production, sur la fin des délocalisations, sur les moyens de rendre leur fierté aux classes moyennes. Cela ne correspond pas du tout à la compréhension russe de la grandeur. Il y a donc de la place pour les deux ego, en quelque sorte. Les deux “exceptionnalismes”, russe et américain, pourront coexister si l’Amérique se concentre plus sur elle-même. Mais si les Etats-Unis voient que la Russie commence à grappiller du terrain sur tous les dossiers et que, à un moment et à un autre, cela va à l’encontre de leurs intérêts, ils réagiront.

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"Poutine a remis en question l'ordre de l'après-guerre froide"

13 février 2015
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"Tous les mécanismes sécuritaires sur lesquels reposait l’ordre de l’après-guerre froide ont été remis en question par l’annexion de la Crimée et la déstabilisation de l’Ukraine"

 

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"La France et l'Allemagne ont décidé qu'il fallait agir maintenant"

13 février 2015
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Suite à l'accord de Minsk du 13 février, Vivien Pertusot estime que la France et l'Allemagne ont décidé qu'il était important d'agir au plus vite dans le conflit russo-ukrainien. Selon lui, cet accord est une avancée, mais n'est pas la panacée, pas plus qu'il n'est le fruit d'un consensus européen.

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En Occident, personne n'est prêt à mourir pour Kiev

10 février 2015
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"Pour la politologue Tatiana Kastouéva-Jean, le sommet prévu demain à Minsk (Biélorussie) a peu de chance de déboucher sur un règlement du conflit entre Kiev et Vladimir Poutine."

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Poutine absent aux cérémonies d'Auschwitz pour "crier son désaccord avec l'Occident"

27 janvier 2015
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Vladimir Poutine sera mardi le grand absent des commémorations des 70 ans de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, en Pologne. Par-delà ce qui pourrait passer pour un geste d'humeur, quelles sont les raisons de l'absence du président russe?

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"La violence des propos de Poutine soude les européens"

17 novembre 2014
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Jusqu’où Poutine peut-il aller dans la provocation ?

Vladimir Poutine est davantage dans une logique d’escalade que de provocation. Et ce depuis son discours du 24 octobre à Sotchi. Depuis, son durcissement de ton s’accompagne, sur le terrain, d’un déploiement des forces militaires russes . Au G20, le patron du Kremlin a été clairement critiqué par les Occidentaux , mais a bénéficié d’une écoute plus bienveillante de la part d’autres pays. Il a tenu à symboliser les BRICS. Cependant, si ces pays ne sont pas à 100 % alignés sur les positions des pays développés, ils nourrissent néanmoins des inquiétudes grandissantes face aux démonstrations de force dont le président russe s’est rendu coutumier. Le déploiement de quatre bâtiments de la marine russe au large des côtes australiennes avant le G20 en est l’exemple caricatural. Il faut bien comprendre que, de tous les dirigeants présents à Brisbane, Vladimir Poutine se distingue en alternant casquette de chef politique et casquette de chef militaire.

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Potemkin observers

04 novembre 2014
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Rebel commander Alexander Zakharchenko smiled only slightly on hearing that he had won this weekend's elections in Donetsk, Ukraine (pictured). The results were never in doubt: Mr Zakharchenko's nominal opponents openly supported him, and his face was the only one on campaign billboards. Nonetheless, eastern Ukraine's separatist republics went through the motions of democracy, including inviting international election observers. Those proved hard to find: while Russia has said it will respect the vote, America, the European Union, and the United Nations have all condemned it.

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"Le débat russe, un terrain glissant"

24 octobre 2014
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Interview. Tatiana Kastoueva-Jean, chercheuse à l’Ifri, pointe la «polarisation» des positions en France.

Pourquoi Poutine séduit-il autant en France ?

- Il passe pour un leader fort, capable de tenir tête aux Etats-Unis pour défendre ce qu’il estime être les intérêts nationaux. Ce type de leader trouvera toujours des adeptes en Europe. Par ailleurs, l’histoire pèse lourd dans la relation franco-russe, jouant un rôle trompeur. Des deux côtés, on cite Catherine la Grande, l’escadron de chasse Normandie-Niemen, Charles de Gaulle… Côté russe, surtout, on pioche dans l’histoire comme dans une boîte à outils pour faire croire que les deux pays ont toujours été du même côté, en omettant de mentionner la guerre de Crimée ou la guerre de 1812 sous Napoléon. On s’accroche à ces grands noms et périodes glorieuses pour ne pas parler des choses qui fâchent dans l’actualité. Ce qui est frappant, en France, c’est la très forte polarisation du débat sur la Russie. D’entrée, les gens sont classés en prorusses et antirusses, ou pro-Poutine et anti-Poutine. L’idéologie définit les discours : quand on voit la liste d’intervenants à un forum franco-russe, on a un avant-goût de ce qui sera dit. Cela appauvrit terriblement le débat intellectuel.

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Occident-Russie, la paix froide ?

01 octobre 2014
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Alors que le cessez-le-feu signé entre la Russie et l'Ukraine reste fragile sur le terrain, Le Monde a invité deux spécialistes français de l'espace post-soviétique à échanger sur l'avenir des relations entre l'Occident et la Russie, et les enjeux pour la paix et la sécurité sur le Vieux continent.

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L'URSS existe toujours sur Internet, et c'est devenu la zone

15 septembre 2014
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Plus de 118 000 sites utilisent encore aujourd’hui un nom de domaine en .su, pour « Soviet Union ». Rendez-vous privilégié de cybercriminels russes, cet espace pourrait pourtant ne jamais disparaître.

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A l'Est, rien de nouveau

14 septembre 2014
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Le mur de Berlin est tombé, mais le rapport de force entre l'Est et l'Ouest continue. L'histoire n'est pas finie.

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