"Climat : Pékin joue sur les mots et les apparences"
A quelques jours du sommet de Copenhague sur le climat, que peut-on encore attendre de la Chine, premier pollueur de la planète ? Apparemment pas grand chose de plus que les maigres concessions déjà accordées sur une réduction de son intensité carbone, explique aux "Echos" Valérie Niquet, directeur du Centre Asie de l'Ifri (Institut français des relations internationales).
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