Interventions médiatiques
Nos chercheurs interviennent dans le débat public et apportent leur lumière dans les médias français et internationaux. Retrouvez toutes leurs interventions médiatiques.
Midterms: Joe Biden évite le pire
Le Parti républicain conserve une longueur d'avance, mais la lourde défaite prédite aux Démocrates n'a pas eu lieu. Ce mardi 8 novembre, les États-Unis votaient. Si vous êtes des fidèles de New Deal, vous savez que sont renouvelés la Chambre des représentants, un tiers du Sénat, des gouverneurs, des shérifs et tout un tas d'élus.
Nucléaire : quelles sont les véritables conséquences de l'importation d'uranium ?
Garantir l’indépendance énergétique de la France est l’argument avancé par les tenants du nucléaire. Mais la France est-elle réellement autonome dans ce domaine, qui n’exploite plus de mine d’uranium sur son territoire depuis 2001 ?
L'avenir de l'armée française
Les deux chercheurs du Centre des études de sécurité étaient interrogés par la télévision tchèque dans le cadre d'un reportage sur l'avenir de l'armée française.
Guerre en Ukraine : quels enseignements pour l'armée française ?
Alors qu'Emmanuel macron prononce aujourd'hui un discours sur la défense française, les Enjeux internationaux tirent les leçons à tirer pour les armées occidentales, et l’armée française en particulier, de la guerre en Ukraine.Tout à l’heure, depuis un bâtiment militaire à Toulon, le président de la République présentera les défis stratégiques auxquels la France doit faire face, dans un contexte dominé par la guerre en Ukraine et la compétition de plus en plus exacerbée entre grandes puissances. On appelle cela la Revue Nationale Stratégique, elle qui conduit à la nouvelle loi de programmation militaire pour la période 2024-2030. Pour la période 2019-2025 le budget était de 295 milliards d’euros. De combien sera l’augmentation de la nouvelle loi ?
Guerres, l’armée française est-elle prête ?
Elie Tenenbaum revient sur le discours de présentation de la Revue nationale stratégique par le président Emmanuel Macron à Toulon, aux côtés de Joséphine Staron, docteur en philosophie politique et directrice des études du think tank Synopia, Rachid Temal, sénateur PS du Val d'Oise et vice-président de la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat, et Nicolas Arpagian, expert en cybersécurité et enseignant à Sciences Po.
Ukraine: faut-il craindre une attaque nucléaire ?
Héloïse Fayet, chercheur à l'IFRI spécialisée en dissuasion nucléaire essaie d'évaluer le risque d'attaque nucléaire de la Russie.
Trump : il revient…
Deux ans après l’élection présidentielle, Donald Trump et les Républicains appellent à faire déferler une "immense vague rouge" sur les élections américaines de mi-mandat, qui se tiennent demain aux États-Unis, convaincus de pouvoir l’emporter. Avec à la clé : le contrôle du Congrès et la limitation de la capacité de Joe Biden à faire adopter des lois pour la seconde partie de son mandat, mais aussi, la préparation de la prochaine présidentielle. Ce scrutin est vu en effet par beaucoup comme un possible "tremplin" pour la candidature en 2024 du milliardaire qui a laissé ces derniers jours peu de place aux doutes sur ses ambitions et pourrait même se déclarer dès le week-end prochain. Et ce alors que le gouverneur de Floride Ron DeSantis, en pleine ascension, apparaît de plus en plus comme un possible candidat républicain en 2024.
Midterms 2022 : « Il y a bien une menace sur la démocratie américaine » selon Laurence Nardon
Selon la spécialiste des États-Unis Laurence Nardon, les élections parlementaires du mardi 8 novembre ne devraient pas changer à court terme la politique américaine, malgré un climat menaçant pour la démocratie.
Une Amérique désorientée ?
Les élections de mi-mandat, un traditionnel obstacle pour le président américain en place à la Maison-Blanche. Pour Joe Biden, la situation est sans doute particulièrement compliquée en raison de la radicalisation des Républicains, qui dans une proportion importante continuent de contester son élection en 2020 et sont fortement opposés à ses projets.
COP 27 : écoutera-t-on le GIEC à Sharm El Sheikh ?
Chaque année, les États courent au chevet de la planète pour régler le climat lors des COP. La 27ème édition, qui aura lieu du 6 au 18 novembre à Sharm El Sheikh, signe le retour du Sommet en Afrique. Le défi des pays-membres sera de renouveler leurs ambitions globales en termes de politiques climatiques, alors que les experts non gouvernementaux déplorent une énième parade en forme de greenwashing.
États-Unis : des élections à quitte ou double ?
Les Américains décideront le 8 novembre s’ils veulent encore donner une majorité parlementaire à Joe Biden pour gouverner ou s’ils préfèrent voir les Républicains peser davantage. Ils sont appelés aux urnes pour élire tous les députés de la Chambre des représentants et 1/3 des sénateurs. Ce scrutin verra aussi l'élection de plusieurs gouverneurs et secrétaires d’Etat. Des référendums locaux seront également organisés.
Paris et Berlin, ne sont plus en phase, c'est le moins que l'on puisse dire
Les deux capitales s'affrontent à peu près sur tous les domaines; sur la politique énergétique, la défense, face à la Chine. L'Allemagne n'hésite pas à faire cavalier seul pour préserver son économie, au risque de saper la cohésion d'une Union européenne déjà malmenée par la guerre en Ukraine. La nouvelle classe dirigeante en Allemagne ne revendiquent aucune forme d'héritage franco-allemand.
Kherson annexée : c'est quoi la suite ?
Avec: Anne-Sophie Warmont, envoyée spéciale de BFMTV à Kiev (Ukraine). Masha Kalina, conseillère en art ukrainienne. Le colonel Michel Goya, consultant défense pour BFMTV. Christian Makarian, éditorialiste au journal Le Point, spécialiste de politique internationale. Héloïse Fayet, chercheuse au centre des études de sécurité de l'Ifri, spécialiste du nucléaire. Et Sylvie Bermann, consultante diplomatie pour BFMTV, ancienne ambassadrice de France en Russie.
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.