Interventions médiatiques
Nos chercheurs interviennent dans le débat public et apportent leur lumière dans les médias français et internationaux. Retrouvez toutes leurs interventions médiatiques.

Turquie : "Erdogan ne tient plus son pays"
Interview de Dorothée SCHMID, responsable du Programme Turquie contemporaine de l'Ifri, suite à l'assassinat de l'ambassadeur russe à Ankara, lundi 19 décembre 2016.

L’attentat de Berlin va-t-il bouleverser la politique sécuritaire en Allemagne ?
Lundi soir, un homme fonçait dans un marché de Noël à Berlin à bord de son camion. Un attentat terroriste qui, selon le dernier bilan des autorités allemandes, a fait 12 morts et 48 blessés. A l’heure où nous écrivons ces lignes, l’identité et les motivations exactes du terroriste ne sont pas encore connues avec certitude. Challenges.fr revient avec Barbara Kunz, chercheuse au Cerfa à l'Ifri, sur la politique sécuritaire allemande actuelle et l’impact que pourrait avoir cet attentat.
L’attentat de Berlin est lourd de conséquences pour l’Allemagne et sa chancelière
L'impact sera sans doute à la hauteur du symbole de l’acte, perpétré au cœur de Berlin, au pied de l’église du Souvenir et contre un événement emblématique de la nation allemande: un marché de Noël. La capitale allemande rejoint donc le cortège des villes européennes frappées par des actes terroristes de grande ampleur.

Au lendemain de l'attaque sur le marché de Noël de la Breitscheidplatz à Berlin, émission spéciale
Lundi 19 décembre, vers 20h, un camion a traversé la foule réunie sur le marché de Noël de la Breitscheidplatz à Berlin, en faisant douze morts et 48 blessés. Pour parler, décrypter cette tragédie et ses futures conséquences, les invités de Nicolas Demorand sont :
Alep : Pourquoi la Russie a finalement accepté la résolution de l’ONU ?
Un non ferme, qui s’est finalement transformé en oui. La Russie, qui soutient le régime du président syrien Bachar al-Assad, a finalement voté la résolution de l’ONU ce lundi, visant à déployer des observateurs onusiens à Alep pour y superviser les évacuations et évaluer la situation des civils. Elle avait annoncé dans un premier temps son intention d’y opposer son véto. 20 minutes analyse ce revirement.La Russie avait menacé d’y opposer son veto. « Nous ne pouvons laisser voter ce texte car c’est un désastre », a ainsi déclaré, dimanche, Vitali Tchourkine, l’ambassadeur russe à l’Onu. Il a estimé le plan français « impraticable et dangereux ». « Nous n’avons pas en soi de problème avec quelque sorte de supervision que ce soit », a-t-il déclaré. « Mais l’idée qu’on devrait leur demander [aux observateurs] de parcourir les ruines d’Alep-est sans préparation adéquate et sans informer quiconque de ce qui est en train de se passer équivaudrait à une catastrophe », a-t-il estimé.
Les démocraties doivent-elles craindre les hackers russes ?
Barack Obama a récemment qualifié la Russie de "petit pays" à qui "personne ne veut rien acheter" et "qui n’innove pas". Nouvel épisode dans l’affrontement diplomatique qui accompagne la cyberguerre que se livrent les deux pays. La tentative russe, avérée selon les services secrets américains, de déstabiliser le processus électoral américain oblige à s’interroger sur cette stratégie : "Les démocraties doivent-elles craindre les hackers russes ?"

Comment la cyberguerre froide a parasité la campagne
Des groupes de hackeurs russes sont visés par la CIA pour avoir pesé sur le processus électoral. A un mois de son départ, Barack Obama met la pression sur le Kremlin.
Jusqu’au bout, la pesante atmosphère de «cyberguerre froide» aura imprimé son tempo à la séquence électorale américaine. Vendredi soir - à un peu plus d’un mois de l’entrée en fonction de Donald Trump et à quelques jours du vote des grands électeurs -, Barack Obama a encore durci le ton lors de sa conférence de presse de fin d’année. S’il n’est pas allé jusqu’à accuser directement le président russe d’avoir ordonné les cyberattaques qui ont émaillé la campagne, c’est tout comme : selon lui, les «plus hauts niveaux» de l’exécutif sont impliqués, et «pas grand-chose ne se passe en Russie sans l’aval de Vladimir Poutine»… Quelques heures avant, Hillary Clinton avait pris moins de gants, reprochant au maître du Kremlin d’avoir «une dent» contre elle et d’avoir commandité les piratages pour «saper» la démocratie américaine.
Pendant des mois, les «fuites» touchant principalement le camp démocrate ont en effet donné à la campagne, déjà particulièrement violente, une toile de fond digne d’un roman d’espionnage.
Trump: les hommes du président
La surprise de l'élection de Donald Trump en cache une autre : la composition de sa future administration. A en juger par les personnalités choisies, le gouvernement Trump ressemblera à son président : masculin, blanc, sexagénaire, riche, sans expérience politique, proche de la finance et de l’industrie américaine et perclus de conflits d’intérêts avec des Etats étrangers.
RDC : les scénarios de l'après 19 décembre
A quelques jours de la fin du mandat du présisent Joseph Kabila, Kinshasa retient son souffle et redoute une flambée de violence alors que les négociations entre la majorité et l'opposition sont au point mort. Thierry Vircoulon nous livre les différentes hypothèses d'une transition à haut risque qui se profile.
"L'administration Obama a une responsabilité terrible dans ce qu'il se passe en Syrie"
Alors que l'ambassadrice américaine à l'ONU, Samantha Power, a tiré la sonnette d'alarme au Conseil de sécurité mardi soir quant à la situation humanitaire à Alep, des questions fondamentales se posent sur l'avenir de la crise syrienne et du Moyen-Orient au moment où Donald Trump pose les bases de sa future administration. Le tropisme russe du président-élu changera-t-il la donne en Syrie ?
Débat avec Peter Altmaier, chef de la Chancellerie fédérale allemande et ministre des affaires spéciales
Le 30 novembre 2016, l'Ambassade d'Allemagne en France et l'Ifri organisaient un débat avec Peter Altmaier, chef de la Chancellerie fédérale et ministre fédéral chargé de Missions spéciales de la République fédérale d'Allemagne. Crise migratoire, conflit en Syrie, avenir de l'Europe et relations franco-allemandes étaient au coeur des échanges.

Russie / États-Unis : les débuts d'une cyberguerre froide ?
Aujourd’hui la dissuasion n’est plus nucléaire mais informatique. Au point qu’aux États-Unis la CIA accuse Moscou d'avoir pesé dans la victoire de Donald Trump. Le sujet est à la une aux États-Unis : les agences de renseignement américaines disent avoir la certitude d’une ingérence de la Russie dans l’élection présidentielle qui a vu la victoire de Donald Trump.
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