Sahel : "Au Mali et au Burkina Faso, les services de sécurité sont quasiment effondrés", affirme Alain Antil, chercheur à l'IFRI
En raison de la faiblesse de son armée, le pouvoir malien n'a eu d’autre stratégie que de confier à la France – et aujourd'hui à la Russie – les tâches de sécurité qui lui incombent. Le point sur la situation sécuritaire et l'origine du terrorisme dans le Sahel.
« Le terrorisme djihadiste n’est pas une menace existentielle mais une nuisance durable »
Une stratégie d’endiguement s’est substituée à celle de l’éradication lancée après les attentats du 11 septembre 2001, analysent les deux chercheurs, Marc Hecker et Elie Tenenbaum, qui dressent le bilan de vingt ans de lutte contre le terrorisme djihadiste, menée notamment sur les théâtres extérieurs comme intérieurs.
Une semaine après la mort d’Abdelmalek Droukdel, quelles conséquences pour AQMI?
Le chef d’al Qaida au Maghreb islamique, Abdelmalek Droukdel, a été tué jeudi 4 mai dans un raid de la force française Barkhane près de Tessalit, dans le nord du Mali.
« Belmokhtar est certainement aujourd'hui le cadre d'Al-Qaeda le plus influent du Sahel »
Dans une étude mise en ligne ce vendredi, le chercheur Marc Mémier revient sur l'organisation Al-Mourabitoune et la tectonique des groupes jihadistes actifs dans le Sahara.
Les déroutes de l’EI, une aubaine pour l’alliance AQMI/Al-Mourabitoune ?
Une étude de l’Ifri parue le 6 janvier révèle les dessous du ralliement d’Al-Mourabitoune, le groupe de Mokhtar Belmokhtar, à AQMI en décembre 2015. L’occasion de faire le point sur les différentes composantes de la mouvance jihadiste au Sahel.
La double revendication de l'attaque de Bamako illustre la nébuleuse djihadiste malienne
La prise d'otages sanglante de l'hôtel Radisson Blu à Bamako le 20 novembre a été revendiqué par deux groupes djihadistes différents. Cette double revendication prend ses racines dans une nébuleuse de groupes différents et qui peut s'expliquer de plusieurs manières.
Les trajectoires de radicalisation religieuse au Sahel
La problématique de la radicalisation religieuse s’est imposée au rang des priorités des États du Sahel depuis le milieu des années 2000 sous l’effet conjugué de deux dynamiques dont il n’est pas aisé d’identifier précisément les liens.
AQMI et Al-Mourabitoun : le djihad sahélien réunifié ?
Le 4 décembre 2015, le chef suprême d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Abdelmalek Droukdel, annonçait le ralliement du groupe de Mokhtar Belmokhtar, Al-Mourabitoun, dans ses rangs.
Sahara de tous les dangers. Le Maghreb dans la tourmente ?
Alors qu’à la fin de l’année 2011 les groupes djihadistes étaient relativement circonscrits dans l’espace maghrébin, considérés avant tout comme une nuisance plus qu’une réelle menace, en un an, la situation sécuritaire s’est considérablement dégradée.
Les trajectoires de radicalisation religieuse au Sahel
La problématique de la radicalisation religieuse s’est imposée au rang des priorités des États du Sahel depuis le milieu des années 2000 sous l’effet conjugué de deux dynamiques dont il n’est pas aisé d’identifier précisément les liens.
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Le 4 décembre 2015, le chef suprême d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Abdelmalek Droukdel, annonçait le ralliement du groupe de Mokhtar Belmokhtar, Al-Mourabitoun, dans ses rangs.
Sahara de tous les dangers. Le Maghreb dans la tourmente ?
Alors qu’à la fin de l’année 2011 les groupes djihadistes étaient relativement circonscrits dans l’espace maghrébin, considérés avant tout comme une nuisance plus qu’une réelle menace, en un an, la situation sécuritaire s’est considérablement dégradée.
Sahel : "Au Mali et au Burkina Faso, les services de sécurité sont quasiment effondrés", affirme Alain Antil, chercheur à l'IFRI
En raison de la faiblesse de son armée, le pouvoir malien n'a eu d’autre stratégie que de confier à la France – et aujourd'hui à la Russie – les tâches de sécurité qui lui incombent. Le point sur la situation sécuritaire et l'origine du terrorisme dans le Sahel.
« Le terrorisme djihadiste n’est pas une menace existentielle mais une nuisance durable »
Une stratégie d’endiguement s’est substituée à celle de l’éradication lancée après les attentats du 11 septembre 2001, analysent les deux chercheurs, Marc Hecker et Elie Tenenbaum, qui dressent le bilan de vingt ans de lutte contre le terrorisme djihadiste, menée notamment sur les théâtres extérieurs comme intérieurs.
Une semaine après la mort d’Abdelmalek Droukdel, quelles conséquences pour AQMI?
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