Equité sociale dans l'OCDE : Où se situe l'Allemagne ? Indicateurs de gouvernance durable 2011
Cette étude analyse l’équité sociale des pays de l’OCDE, dont l’Allemagne, au moyen de plusieurs indicateurs. L’étude révèle que la pauvreté monétaire a augmenté en Allemagne, notamment la pauvreté infantile. Par ailleurs, le système éducatif allemand présente des carences, en particulier dans l’éducation pré-scolaire.
Malgré une forte dépendance économique aux exportations, l’insertion sur le marché du travail en Allemagne a progressé. Cependant, la répartition inégalitaire des revenus, la manière dont est abordée l’immigration dans le débat public et les discriminations fragilisent la cohésion sociale. En revanche, l’Allemagne se distingue en terme d’équité intergénérationnelle et de politique environnementale.
Après la publication de l’article de M. Grabka « Problèmes, défis et enjeux, du « modèle allemand » à l’exemple de la classe moyenne » dans l’ouvrage « Sortie de crise à l’allemande : Dynamisme économique et fragilités structurelles d’un modèle », le Cerfa publie une double Note du Cerfa qui prolonge l’analyse de la perception d'un déclin de la classe moyenne en Allemagne :
Note du Cerfa 83 a, Les mythes sur le déclin de la classe moyenne en Allemagne, Roman Herzog Institut, Dominik H. Enste, Vera Erdmann, Tatjana Kleineberg
Note du Cerfa 83 b, Equité sociale dans l’OCDE : Où se situe l’Allemagne ? Indicateurs de gouvernance durable 2011, Thorsten Hellmann, Daniel Schraad-Tischler, Robert Schwarz
Contenu disponible en :
Régions et thématiques
ISBN / ISSN
Utilisation
Comment citer cette publicationPartager
Téléchargez l'analyse complète
Cette page ne contient qu'un résumé de notre travail. Si vous souhaitez avoir accès à toutes les informations de notre recherche sur le sujet, vous pouvez télécharger la version complète au format PDF.
Equité sociale dans l'OCDE : Où se situe l'Allemagne ? Indicateurs de gouvernance durable 2011
Centres et programmes liés
Découvrez nos autres centres et programmes de rechercheEn savoir plus
Découvrir toutes nos analysesL'Allemagne en campagne pour les élections anticipées du 23 février. Enjeux d’un scrutin à risque
À un mois des élections anticipées en Allemagne, qui se tiendront le 23 février 2025 après que la coalition « feu tricolore » a implosé le 6 novembre 2024, le paysage politique allemand semble relativement stable, malgré l’affirmation de l’extrême droite. Le nouveau gouvernement issu des élections devra s’atteler à repenser un modèle économique allemand en crise, dans un contexte perturbé par l’élection de Donald Trump aux États-Unis. Dès lors, quelles sont les perspectives pour l’Europe et pour la relation franco-allemande ?
Le FDP – un parti de gouvernement dans l’opposition à son propre gouvernement ?
Avant l’éclatement de la coalition feu tricolore le 6 novembre 2024, le parti libéral-démocrate (FDP) se trouvait déjà en difficulté dans les sondages et en baisse de popularité depuis son entrée au gouvernement en décembre 2021.
L’Allemagne face aux bouleversements géopolitiques mondiaux. Des réponses insuffisantes
Les images horribles du massacre perpétré contre les Israéliens le 7 octobre 2023, les souffrances de la population palestinienne de Gaza, détruite et sans doute désormais inhabitable, ainsi que la terreur russe qui s’exerce sur la population civile ukrainienne depuis bientôt trois ans confrontent l’Allemagne à une vérité géopolitique qui est à l’opposé d’un monde idéal où des pays, transformés en acteurs post-nationaux, animés par le bien commun de l’humanité et le progrès social, se soumettent volontairement aux postulats des normes du droit international et le respectent.
DOSSIER - La fin de la coalition « feu tricolore » – vers des élections anticipées le 23 février 2025. Les évolutions du paysage politique en Allemagne
La coalition « feu tricolore » au pouvoir à Berlin battait sérieusement de l’aile depuis des mois en raison des dissensions affichées ouvertement entre ses trois composantes, les Sociaux-démocrates du chancelier Scholz, les Verts dont les figures de proue étaient Robert Habeck, ministre de l’Économie, et Annalena Baerbock, ministre des Affaires étrangères, et les Libéraux de Christian Lindner, ministre des Finances.