Reflecting on the events that shaped the summer of 2016, its easy to be overwhelmed by the many images evoking contradictory emotions. The smiles of triumphant athletes mixed in with the tears of parents of the victims of the Nice terror attack. And yet, one image prevails over all the others. It’s the picture of a five-year-old Syrian boy pulled from the rubble of his home in the besieged city of Aleppo, after yet another bombing from Syrian forces.

À revoir sur France 5 - ‪#‎Cdanslair‬, avec Laurence Nardon, responsable du programme Amérique du Nord de l'Ifri.

C'est désormais officiel: Hillary Clinton est la candidate des démocrates. C'est elle qui mènera son parti dans la course à la présidentielle du 8 novembre. Elle va devoir faire face au républicain Donald Trump.

Après la publication de milliers d'emails confidentiels échangés dans le camp démocrate, de lourdes suspicions pèsent sur la Russie. Certains y voient la main de Vladimir Poutine, qui aurait intérêt à voir Donald Trump élu en décembre.

C’est le gouverneur de l’Indiana Mike Pence qui a finalement été retenu comme colistier de Donald Trump pour les présidentielles de novembre prochain. En choisissant ce chrétien conservateur, Trump tente de rassembler les Républicains derrière lui : aux classes moyennes en colère que séduit son discours populiste, il ajouterait ainsi les électeurs fondamentalistes de la droite du parti. On peut pourtant craindre que ce mariage de la carpe et du lapin ne fasse que rendre plus évidentes les failles idéologiques qui traversent le GOP. Par ailleurs, Trump ne cesse d’osciller entre sa volonté d’unifier le Parti et ses moments impulsifs, lors desquels il éloigne les conservateurs par ses déclarations intempestives.

Article à lire en anglais: cliquer ici.

Pas encore investi, déjà désigné… A Cleveland, cette nuit, suivant le fil d’une convention républicaine agitée, Donald Trump, a recueilli les voix de 1 725 délégués. Pour vous donner un ordre d’idées, son principal concurrent, le sénateur du Texas Ted Cruz a obtenu quant à lui 475 suffrages. En visioconférence depuis New York, Donald Trump a promis de l’emporter le 8 novembre pour appliquer son programme en 3 volets : relancer l’emploi, renforcer l’armée, accroître la sécurité aux frontières et « restaurer la loi et l’ordre ».