Le monde de la tech en plein trouble après le licenciement de l'un des créateurs de ChatGPT.

Le 19 novembre aura lieu le second tour de l’élection présidentielle en Argentine. À la différence d’un cycle politique qui a favorisé la gauche dans un sous-continent frappé par la pauvreté, les Argentins vont devoir trancher entre deux prétendants situés à droite, et même à l’extrême droite.

S'il reprend des éléments du programme de Biden sur l'économie, l'immigration et les relations avec la Chine, il est radicalement différent en matière sociétale, environnementale et internationale.

Alors que les élections présidentielles aux Etats-Unis se tiendront dans un an, ce ne sont pas les multiples inculpations dont fait l'objet Donald Trump qui lui ôteront le statut de favori à la Primaire Républicaine. Comment expliquer cette popularité à toute épreuve ?

Alors que le président sortant des Etats-Unis compte briguer un second mandat, les Américains ne sont pas convaincus que leur situation se soit améliorée, en dépit de données macroéconomiques flatteuses, constate dans sa chronique Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde ».

À un an du scrutin, le candidat à sa réélection surfe sur le vote en faveur de l’IVG. Mais il perd une partie du soutien afro-américain.

En tête des sondages dans de nombreux «swing states», l'ancien président souhaite régler ses comptes.

Renouant avec l'interventionnisme, les Bidenomics prolongent aussi le protectionnisme des années Trump. Quels sont les principes des Bidenomics ? A quel point marquent-ils une rupture dans l'histoire économique américaine ?

La politiste analyse, dans une tribune au « Monde », les succès et les limites des réformes de l’administration démocrate qui, bien que s’adressant en priorité aux classes moyennes en rompant avec le néolibéralisme, peinent à les séduire sur le plan politique.