Quels sont les effets de la guerre en Ukraine sur l’espace ex-soviétique ?
Le conflit avec Kiev a commencé à modifier les relations entre Moscou et son « proche étranger ».
L’heure de l'Asie centrale est-elle arrivée ?
Il y a quelques jours, se tenait le premier sommet entre le président chinois et ses homologues des cinq Républiques d’Asie centrale. Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghizstan et Tadjikistan sont autant d’anciennes Républiques soviétiques -aujourd’hui arrière-cour de la Russie- qui constituent une région stratégique aux yeux de Pékin qui cherche à avancer ses pions sur son flanc occidental, concurrençant ainsi la mainmise ancienne du grand frère russe.
La deuxième mort de l'URSS
Les ex-républiques soviétiques prennent de plus en plus leurs distances vis-à-vis d'une Russie qui ne dispose plus du soft power ni des moyens militaires pour dominer la région. L'invasion de l'Ukraine a accéléré la deuxième dislocation de l'imperium russe, trente-deux ans après la fin de l'URSS.
En Asie centrale, l’influence de la Chine est-elle en train de dépasser celle de la Russie ?
Les pays d’Asie centrale sont au cœur d’une région stratégique disputée. Pour autant, il ne faut pas la résumer seulement à une zone « co-gérée » par la Russie et la Chine.
Guerre en Ukraine : le Kazakhstan se cherche un équilibre entre Moscou entre Kiev
Les électeurs kazakhs renouvellent leur Parlement ce dimanche alors que le pays tente en pleine guerre d’Ukraine de s’émanciper de Moscou.
Comment la guerre en Ukraine rebat les cartes en Asie centrale
Traditionnellement, ils sont alliés de la Russie. Le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Kirghizistan, le Turkménistan et le Tadjikistan adoptent une position d’équilibriste depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, entre prises de position pro-Kiev et neutralité diplomatique affichée. Une chose semble certaine : le conflit a de nombreuses répercutions dans la région qu’elles soient politiques, économiques voire sociales. Que se joue-t-il en Asie centrale ?
Un an après les manifestations de janvier 2022 : qu’est-ce qui a changé au Kazakhstan ?
Le « Qandy Qantar », ou « Janvier sanglant » en kazakh, fête son premier anniversaire en ce début d’année 2023. Les manifestations qui s’étaient propagées dans tout le pays ont été violemment réprimées par les autorités. Encore aujourd’hui, la justice n’a pas été rendue pour la plupart des victimes et la mémoire est loin de s’être apaisée.
Opération séduction en Asie centrale
Ouzbékistan, Kazakhstan, deux pays de l'Asie Centrale, anciennes républiques soviétiques qui intéressent beaucoup Paris et pas seulement ! Moscou, Pékin, Ankara ou Bruxelles sont sur les rangs… mais pourquoi donc ?
Rencontre entre E. Macron et K. Tokaïev : Paris veut renforcer ses liens avec le Kazakhstan
Le président kazakhstanais Kassym-Jomart Tokaïev est en visite à Paris mardi 28 et mercredi 29 novembre pour renforcer les liens entre la France et ce pays d'Asie centrale, une région hautement stratégique que Paris et l'Europe ne veulent pas laisser aux influences russes, chinoises, turques ou américaines. Michaël Levystone, chercheur associé au Centre Russie/NEI de l'Institut français des relations internationales (IFRI), était sur le plateau de France 24 pour évoquer le sujet.
Comment la France peut profiter du recul de l'influence de Moscou en Asie centrale
La visite en France du président du Kazakhstan Kassym-Jomart Tokaïev, à la fin du mois de novembre, pourrait permettre de créer un partenariat dans le nucléaire. Astana peut aussi servir de canal de communication avec le Kremlin.L'Asie centrale se trouve exposée aux conséquences des deux plus graves crises internationales du moment : l'Afghanistan, à nouveau tombé sous la coupe des Talibans le 15 août 2021, et l'Ukraine, envahie par la Russie le 24 février 2022.
Asie centrale : une occasion historique à saisir
Ce rapport examine la situation économique et géopolitique en Asie centrale.
Prix bas du pétrole : l’« OPEP+ » dans la tourmente
Le 22 juin 2018, les Ministres du Pétrole des membres de « l’OPEP+ », l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole et ses nouveaux alliés de circonstance, parmi lesquels la Russie, le Kazakhstan et l’Azerbaïdjan, se rassembleront à Vienne pour évoquer le statut et le devenir de leur accord de restriction de la production qui est en place depuis novembre 2016 et court jusqu’à fin décembre 2018. Cette étude analyse l’impact de la baisse des prix du pétrole sur dix des principaux producteurs qui se sont ainsi alliés pour limiter leur production, faire baisser les stocks et faire remonter les prix.
L’Asie centrale à l’épreuve de l’islam radical
Vingt-cinq ans après la dissolution de l’Union soviétique et l’accession des républiques centre-asiatiques à l’indépendance, les questions sécuritaires figurent toujours au premier rang des priorités en Asie centrale.
L’Eurasie dans la politique étrangère russe : intérêts, opportunités, contraintes
Au cours des deux dernières années, plusieurs phénomènes ont incité la Russie à renforcer le vecteur eurasiatique de sa politique étrangère. D’une part, la forte dégradation des relations avec l’Occident, dans le contexte de la crise ukrainienne, a conduit la Russie à modifier son approche de la multipolarité.
L’heure de l'Asie centrale est-elle arrivée ?
Il y a quelques jours, se tenait le premier sommet entre le président chinois et ses homologues des cinq Républiques d’Asie centrale. Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghizstan et Tadjikistan sont autant d’anciennes Républiques soviétiques -aujourd’hui arrière-cour de la Russie- qui constituent une région stratégique aux yeux de Pékin qui cherche à avancer ses pions sur son flanc occidental, concurrençant ainsi la mainmise ancienne du grand frère russe.
Un an après les manifestations de janvier 2022 : qu’est-ce qui a changé au Kazakhstan ?
Le « Qandy Qantar », ou « Janvier sanglant » en kazakh, fête son premier anniversaire en ce début d’année 2023. Les manifestations qui s’étaient propagées dans tout le pays ont été violemment réprimées par les autorités. Encore aujourd’hui, la justice n’a pas été rendue pour la plupart des victimes et la mémoire est loin de s’être apaisée.
Rencontre entre E. Macron et K. Tokaïev : Paris veut renforcer ses liens avec le Kazakhstan
Le président kazakhstanais Kassym-Jomart Tokaïev est en visite à Paris mardi 28 et mercredi 29 novembre pour renforcer les liens entre la France et ce pays d'Asie centrale, une région hautement stratégique que Paris et l'Europe ne veulent pas laisser aux influences russes, chinoises, turques ou américaines. Michaël Levystone, chercheur associé au Centre Russie/NEI de l'Institut français des relations internationales (IFRI), était sur le plateau de France 24 pour évoquer le sujet.
Comment la France peut profiter du recul de l'influence de Moscou en Asie centrale
La visite en France du président du Kazakhstan Kassym-Jomart Tokaïev, à la fin du mois de novembre, pourrait permettre de créer un partenariat dans le nucléaire. Astana peut aussi servir de canal de communication avec le Kremlin.L'Asie centrale se trouve exposée aux conséquences des deux plus graves crises internationales du moment : l'Afghanistan, à nouveau tombé sous la coupe des Talibans le 15 août 2021, et l'Ukraine, envahie par la Russie le 24 février 2022.
Émeutes au Kazakhstan
Michaël Levystone partage son analyse des mouvements de protestation au Kazakhstan.
Kazakhstan : l'influence considérable de l'ancien président Noursoultan Nazarbaïev
Le Kazakhstan est secoué par des émeutes depuis dimanche, violemment réprimées par le pouvoir. Qui dirige vraiment ce pays d'Asie centrale ? Selon des spécialistes, l'ancien président Noursoultan Nazarbaïev exerce encore une influence considérable.
Le président kazakh ordonne aux forces de l'ordre de tirer
Michaël Levystone partage son analyse de l'évolution de la situation au Kazakhstan.
« Le Kazakhstan risque de devenir la marionnette de la Russie »
ENTRETIEN. Spécialiste de l'Asie centrale à l'Ifri, Michaël Levystone analyse les raisons du soulèvement en cours au Kazakhstan, qui a déjà fait plusieurs morts.
Kazakhstan : la fin de de l'ère Nazerbaïev ?
Michaël Levystone, chercheur au centre Russie/ NEI de l'Ifri partage ses analyses de la situation au Kazakhstan, en proie à des mouvements sociaux sans précédent depuis son indépendance en 1991.
Au Kazakhstan, la population veut en finir avec l'ère Nazarbaïev
Dans un climat de manifestations et de répression, la république d’Asie centrale a fait appel à Moscou et aux membres de l’Organisation du traité de sécurité collective pour aider au rétablissement de l’ordre
Conférence avec Roman Vassilenko, vice-ministre des Affaires étrangères du Kazakhstan
Conférence présidée par Thierry de Montbrial, président de l'Ifri, membre de l'Académie des Sciences morales et politiques.
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