Ukraine : un pays de transit dans l'impasse. Edition actualisée après les élections de 2010
L'Ukraine : un pays de transit dans l'impasse ? Et son rôle énergétique, peut-on le résumer à celui unique d'un pays de transit ? Certainement pas, car l'Ukraine est à la fois un grand consommateur gazier, un producteur gazier, et un pays disposant de vastes capacités de stockage.
L'Ukraine bleue : un pays européen non-aligné ? Quels changements, notamment énergétiques ?
Viktor Ianoukovitch, quatrième président de l’Ukraine depuis l’indépendance du pays, a été investi le 25 février 2010. Il avait emporté la victoire contre sa rivale Ioulia Timochenko au deuxième tour des élections, avec un scrutin de 49% contre 45,5%.
A quels changements dans la politique énergétique, et notamment dans la gestion du rôle de transit, peut-on s’attendre maintenant ?
L'Université technique Bauman : un atout majeur de la politique industrielle russe
Cette monographie s'inscrit dans le cadre d'un projet de recherche, "Zoom sur les universités russes", qui vise à analyser une série d'établissements d'enseignement supérieur russe. L'Université technique d'État de Moscou Bauman - MGTU (18 000 étudiants à temps plein), établissement public créé en 1826, est à l'origine de l'école russe d'ingénieur. Aujourd'hui, la MGTU est un pilier du système de formation technique : elle forme des cadres pour des secteurs de pointe (aérospatiale, aviation, nanotechnologies, technologies de l'information, énergie et génie biomédical).
La Russie, la Chine et les Etats-Unis : quel avenir pour ce triangle stratégique ?
Au cours des dix dernières années, les débats étaient centrés sur l'émergence d'un nouvel ordre mondial dans lequel l'" unipolarité " américaine serait remplacée par des rapports plus équilibrés entre les grandes puissances. L'un des modèles possibles était le retour au triangle Russie-Chine-États-Unis. En réalité, l'époque de tels schémas géopolitiques est révolue.
La Russie, la Chine et les Etats-Unis : quel avenir pour ce triangle stratégique ?
Au cours des dix dernières années, les débats étaient centrés sur l'émergence d'un nouvel ordre mondial dans lequel l'« unipolarité » américaine serait remplacée par des rapports plus équilibrés entre les grandes puissances. L'un des modèles possibles était le retour au triangle Russie-Chine-États-Unis.
La puissance militaire, instrument de la politique soviétique
Selon une idée sommaire mais très répandue au sujet de la puissance militaire soviétique, l'URSS, bien qu'armée à outrance, fait très rarement usage de sa force. Jusqu'à l'invasion de l'Afghanistan, l'armée soviétique, si elle possédait une grande expérience des manoeuvres terrestres et des opérations combinées, manquait singulièrement d'expérience du combat.
Cette incursion ne remet pas du tout en question la dissuasion nucléaire russe, ajoute Héloïse Fayet, de l’Institut français des relations internationales, puisqu’elle ne constitue pas une menace sur ce que les Français qualifient d’intérêts vitaux (la formule russe est “menace existentielle”), même si elle égratigne l’intégrité territoriale du pays .
citée par Yves Bourdillon pour Les Echos.
L'essai s'est conclu par une explosion du missile avant même son tir, possiblement pendant le remplissage du carburant
citée par Alexis Feertchak dans Le Figaro.
Incursion ukrainienne en Russie : "Non, la menace nucléaire n'est pas devenue une menace fantôme"
Alors que le conflit entre la Russie et l'Ukraine fait rage depuis près de deux ans et demi et l'invasion de la seconde par la première, les forces ukrainiennes mènent depuis le 6 août, une incursion d'envergure dans la région russe de Koursk. Si Vladimir Poutine a plusieurs fois agité le spectre de la bombe atomique pour faire pression sur les puissances occidentales, il a fort heureusement choisi de ne pas l'employer alors même que la Russie est directement attaquée sur son territoire. Doit-on comprendre que l'emploi de l'arme nucléaire est désormais inenvisageable ?
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