La confiance, indispensable levier à l’épargne des classes moyennes
Le Centre Afrique subsaharienne de l’Ifri organisait le 29 octobre une conférence sur Epargne et « classes moyennes » en Afrique subsaharienne. Cette conférence a été l’occasion de croiser les analyses de chercheurs sur les pratiques d’épargne des « classes moyennes » africaines et les réflexions d’acteurs financiers qui mettent en place des outils afin d’adapter leurs services aux situations et pratiques de ces ménages. Le journaliste Alain Faujas consacre un article à ces débats dans Jeune Afrique.
Afrique : les classes moyennes « ni pauvres ni riches » tirent la consommation
Qui appartient à la classe moyenne africaine ? Depuis l'explosion des malls au début de la décennie, il y a un engouement s'agissant des classes moyennes émergentes et la Banque africaine de développement (Bad) a cherché à les cerner, distinguant ainsi trois catégories en 2011. Selon la Bad, ils sont ainsi 300 millions de consommateurs avec un revenu en parité de pouvoir d'achat (PPA) de 2 à 20 dollars par jour.
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Comment les classes moyennes ouest-africaines consomment-elles ?
En Afrique de l’Ouest, des « classes moyennes » se développent, souvent bien loin des représentations qui en font une classe urbaine unique.
«We try to save every month». L'épargne au coeur du positionnement de l'entre-deux des «ni riches ni pauvres» en Afrique du Sud
En Afrique du Sud postapartheid, où consommer est à la fois un acte de citoyenneté pour les populations noires autrefois opprimées et une façon d’affirmer son identité, l’épargne semble occuper les marges des pratiques sociales. Pourtant, chez la petite classe moyenne noire émergente des milieux urbains, elle a une place stratégique dans l’économie du ménage et, parce qu’elle est le signe d’une capacité de projection vers le futur, elle est même au coeur de l’identité du « milieu ».
Comment les classes moyennes ouest-africaines consomment-elles ?
En Afrique de l’Ouest, des « classes moyennes » se développent, souvent bien loin des représentations qui en font une classe urbaine unique.
«We try to save every month». L'épargne au coeur du positionnement de l'entre-deux des «ni riches ni pauvres» en Afrique du Sud
En Afrique du Sud postapartheid, où consommer est à la fois un acte de citoyenneté pour les populations noires autrefois opprimées et une façon d’affirmer son identité, l’épargne semble occuper les marges des pratiques sociales. Pourtant, chez la petite classe moyenne noire émergente des milieux urbains, elle a une place stratégique dans l’économie du ménage et, parce qu’elle est le signe d’une capacité de projection vers le futur, elle est même au coeur de l’identité du « milieu ».
La confiance, indispensable levier à l’épargne des classes moyennes
Le Centre Afrique subsaharienne de l’Ifri organisait le 29 octobre une conférence sur Epargne et « classes moyennes » en Afrique subsaharienne. Cette conférence a été l’occasion de croiser les analyses de chercheurs sur les pratiques d’épargne des « classes moyennes » africaines et les réflexions d’acteurs financiers qui mettent en place des outils afin d’adapter leurs services aux situations et pratiques de ces ménages. Le journaliste Alain Faujas consacre un article à ces débats dans Jeune Afrique.
Afrique : les classes moyennes « ni pauvres ni riches » tirent la consommation
Qui appartient à la classe moyenne africaine ? Depuis l'explosion des malls au début de la décennie, il y a un engouement s'agissant des classes moyennes émergentes et la Banque africaine de développement (Bad) a cherché à les cerner, distinguant ainsi trois catégories en 2011. Selon la Bad, ils sont ainsi 300 millions de consommateurs avec un revenu en parité de pouvoir d'achat (PPA) de 2 à 20 dollars par jour.
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