Existe-t-il une classe moyenne en Afrique ?
L’argent, l’éducation, la consommation, sur quels critères fait-on partie de la classe moyenne en Afrique ? Selon la Banque Africaine de développement, 350 millions d’Africains appartiendraient à la classe moyenne, soit un tiers de la population. En fait, ce chiffre est fortement contesté, tout comme le terme lui-même de classe moyenne. D’un pays à l’autre, entre les capitales et les périphéries, les situations sont disparates.
Conceptualiser les classes moyennes dans un Etat développementiste : discours et attentes en Éthiopie.
La notion de « classe moyenne » a été de plus en plus utilisée depuis les années 2010 pour identifier les changements sociaux survenus dans les pays africains, y compris en Éthiopie. Cependant, cette catégorie elle-même est difficile à définir et a été retenue pour décrire des dynamiques socio-économiques très diverses.
De nouveaux lieux de consommation pour de nouvelles classes moyennes ? Les centres commerciaux à Abidjan
Depuis 2011 et la fin de la crise post-électorale, la Côte d’Ivoire renoue avec une croissance économique spectaculaire. Le pays et sa capitale attirent l’attention d’un nombre croissant d’investisseurs, et les « classes moyennes abidjanaises » sont largement publicisées et convoitées.
Des classes moyennes en forma(lisa)tion ? Le cas des salariés des télécommunications à Kinshasa
Un changement de perception du continent africain s’est opéré dans les années 2010 pour de nombreux observateurs. L’attention s’est concentrée sur des taux de croissance économique relativement élevés, une forte croissance démographique associée à une expansion urbaine.
Identifier les classes moyennes africaines : Diversité, spécificités et pratiques de consommation sous contrainte
Le regard international porté sur le continent africain a profondément changé au cours des années 2010. Les images diffusées par la sphère médiatique ont glissé d’une Afrique inexorablement vouée à son triste sort (guerres, pauvreté), vers une Afrique résolument projetée vers l’avenir : un avenir réputé désirable et prometteur.
Consommer dans un environnement incertain : Le paradoxe des classes moyennes africaines
" 300 millions de personnes appartenant aux classes moyennes africaines, autant de consommateurs potentiels " : l’image peut faire rêver plus d’un entrepreneur. De fait, alors que l’afro-pessimisme avait prévalu pendant de longues années au sein de l’opinion publique occidentale, c’est maintenant un afro-optimisme excessif qui semble être le nouveau catéchisme en vogue, dans les médias comme dans les milieux économiques.
Afrique : l'intégration régionale face à la mondialisation
Abdou Diouf a commencé sa carrière politique au Sénégal. Il a été directeur de cabinet de Léopold Sédar Senghor puis Secrétaire général de la Présidence de la République. En 1970, il est nommé Premier ministre. En 1981, il est élu président de la République, fonction qu'il occupe jusqu'en 2000. De 2003 à 2014, il est secrétaire général de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF).
Conceptualiser les classes moyennes dans un Etat développementiste : discours et attentes en Éthiopie.
La notion de « classe moyenne » a été de plus en plus utilisée depuis les années 2010 pour identifier les changements sociaux survenus dans les pays africains, y compris en Éthiopie. Cependant, cette catégorie elle-même est difficile à définir et a été retenue pour décrire des dynamiques socio-économiques très diverses.
De nouveaux lieux de consommation pour de nouvelles classes moyennes ? Les centres commerciaux à Abidjan
Depuis 2011 et la fin de la crise post-électorale, la Côte d’Ivoire renoue avec une croissance économique spectaculaire. Le pays et sa capitale attirent l’attention d’un nombre croissant d’investisseurs, et les « classes moyennes abidjanaises » sont largement publicisées et convoitées.
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Identifier les classes moyennes africaines : Diversité, spécificités et pratiques de consommation sous contrainte
Le regard international porté sur le continent africain a profondément changé au cours des années 2010. Les images diffusées par la sphère médiatique ont glissé d’une Afrique inexorablement vouée à son triste sort (guerres, pauvreté), vers une Afrique résolument projetée vers l’avenir : un avenir réputé désirable et prometteur.
Consommer dans un environnement incertain : Le paradoxe des classes moyennes africaines
" 300 millions de personnes appartenant aux classes moyennes africaines, autant de consommateurs potentiels " : l’image peut faire rêver plus d’un entrepreneur. De fait, alors que l’afro-pessimisme avait prévalu pendant de longues années au sein de l’opinion publique occidentale, c’est maintenant un afro-optimisme excessif qui semble être le nouveau catéchisme en vogue, dans les médias comme dans les milieux économiques.
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Abdou Diouf a commencé sa carrière politique au Sénégal. Il a été directeur de cabinet de Léopold Sédar Senghor puis Secrétaire général de la Présidence de la République. En 1970, il est nommé Premier ministre. En 1981, il est élu président de la République, fonction qu'il occupe jusqu'en 2000. De 2003 à 2014, il est secrétaire général de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF).
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