Replay - Géopolitique de l'IA - Conférence de l'Ifri à La Sorbonne
À l’occasion de la publication du dossier spécial de Politique étrangère sur l'Intelligence artificielle, l'Ifri a organisé une conférence à la Sorbonne en présence de trois des auteurs de ce dossier.
Laure de Roucy-Rochegonde et la guerre à l'ère de l'intelligence artificielle
Laure de Roucy-Rochegonde est docteur en sciences politiques. Elle signe un ouvrage qui pose des questions vertigineuses ; « La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle », ou comment les armes sont en train de devenir autonomes, ce qui pourrait avoir un impact majeur sur les conflits futurs.
La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle, selon Laure de Roucy-Rochegonde
Les images du drone ayant identifié Yahya Sinouar le 16 octobre 2024 ont fait le tour du monde. Comment l'usage de nouvelles technologies à des fins bellicistes reconfigure-t-il le contrôle de la force, désormais réparti entre l'humain et l'IA ? Comment l'IA bouleverse le droit de la guerre ?
La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle
Dans son récent ouvrage « La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle » paru en octobre, Laure de Roucy-Rochegonde s'interroge sur la façon dont l'intelligence artificielle et les armes autonomes peuvent remettre en cause le contrôle humain, politique et juridique, de l'usage de la force.
Intelligence artificielle, guerre et robots tueurs
Interrogée par Stéphane Jourdain dans l'émission « La tech la première » sur France Inter, Laure de Roucy-Rochegonde revient sur les usages actuels de l'intelligence artificielle dans le cadre des conflits armés en Ukraine et à Gaza.
Une guerre sans hommes ? L’ethos guerrier à l’ère des armes autonomes
TRIBUNE. Responsable du Centre géopolitique des technologies de l'Ifri, la docteure Laure de Roucy-Rochegonde explique les résistances du monde militaire au sujet de l'usage des armes autonomes.
Des drones tueurs aux bombes à sous-munitions, les guerres en Ukraine et à Gaza déplacent les lignes éthiques
Certaines armes autrefois considérées comme inacceptables sur le plan éthique, voire interdites par des dizaines de pays, sont désormais largement employées, parfois guidées par des algorithmes. Sans que cela semble causer d’émoi planétaire.
« Sur le champ de bataille, l’IA dépasse les attentes des militaires »
« Entretiens de l’IA ». Pour Laure de Roucy-Rochegonde, autrice de « La Guerre à l’ère de l’intelligence artificielle », l’apparition d’armes plus autonomes peut remettre en cause le contrôle de l’usage de la force.
Guerre robotisée : quel cerveau pour commander l’usage de la force ? L’humain ou l’artificiel ?
Les armes dotées de fonctionnalités autonomes se multiplient et rendent de plus en plus complexes le « contrôle de la force » par les États. Reste que l’outil de l’intelligence artificielle peut permettre de mieux discerner les cibles et d’économiser les pertes humaines. Mais à force de déléguer des compétences à la machine et à l’IA, les États ne perdent-ils pas la main ? « Le livre très complet de l’experte Laure de Roucy-Rochegonde (PUF), « La guerre à l’ère de l’Intelligence artificielle », est pour le moins pessimiste.
La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle
Les progrès fulgurants des techniques d'intelligence artificielle et de la robotique, et surtout leur application au domaine de la défense, font entrevoir l'émergence de nouveaux types de robots militaires, rendus toujours plus autonomes, c'est-à-dire capables de recourir à la force de leur propre chef. Les « robots tueurs » soulèvent néanmoins de nombreuses questions : ces moyens de guerre permettant de ne pas exposer l’humain peuvent-ils être pleinement contrôlés ? Qu’implique le recours à ces technologies ?
La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle
Les progrès fulgurants des techniques d'intelligence artificielle et de la robotique, et surtout leur application au domaine de la défense, font entrevoir l'émergence de nouveaux types de robots militaires, rendus toujours plus autonomes, c'est-à-dire capables de recourir à la force de leur propre chef. Les « robots tueurs » soulèvent néanmoins de nombreuses questions : ces moyens de guerre permettant de ne pas exposer l’humain peuvent-ils être pleinement contrôlés ? Qu’implique le recours à ces technologies ?
Essaims et combat collaboratif. La saturation à l’ère de l’Intelligence artificielle
L'attaque de l'Iran sur Israël le 13 avril 2024, les attaques des Houthis au Yémen et la guerre en Ukraine ont révélé l'importance des essaims sur le champ de bataille.
Starship, une rupture pour le secteur spatial ?
Après deux échecs en avril et novembre 2023, Space X a de nouveau lancé en mars 2024 le Starship, un nouveau lanceur dont l’ambition ultime est de faciliter les voyages interplanétaires. Ce troisième vol de test a permis de valider plus d’étapes que les vols précédents, mais n’a pas rempli tous ses objectifs.
2024 : année charnière pour le domaine spatial ?
L’année 2024 pourrait être charnière pour l’exploration spatiale. De nouveaux lanceurs devraient effectuer leur premier vol, les constellations de satellites et d’autres tendances et technologies promettent de redéfinir la manière dont l’espace est exploré et exploité.
Éthique et responsabilité dans l'exploration spatiale : l'essor de la soft law pour encadrer les nouvelles pratiques
Qu’il s'agisse de mesures de coordination ou de transparence, les mesures de Soft Law permettraient de réduire les tensions entre forces en présence et de favoriser la durabilité de l’environnement spatial pour des opérations viables sur le long terme. Dans le système multipolaire actuel, les États doivent envisager le maintien de la sécurité et la sûreté spatiales comme allant au-delà des rivalités existantes, pour ne pas projeter dans l'espace les conflits menés sur Terre.
La Chine dans la course à l’orbite basse. Perspectives sur la future constellation internet Guowang
En avril 2021, le gouvernement chinois fonde officiellement, mais assez discrètement, une nouvelle entreprise d’État nommée China SatNet. Celle-ci a pour mission de porter le programme de « méga-constellation » de satellites internet en orbite basse, baptisée Guowang (« réseau national »).
TB2 Bayraktar : grande stratégie d’un petit drone
Depuis 2016, le drone tactique TB2 Bayraktar – « porte-drapeau » en turc – a acquis une renommée médiatique considérable, notamment lors du conflit du Haut-Karabagh de 2020. La victoire azerbaïdjanaise sur son voisin arménien a fait du drone de l’entreprise Baykar Makina un système combat proven qui accumule les clients à l’export.
Guerre en Ukraine : révélatrice de ruptures dans le secteur spatial ?
Vitrine spectaculaire du nouveau paradigme commercial du secteur spatial (New Space), la guerre en Ukraine semble consacrer les efforts d’adaptation menés par les États-Unis – en particulier le Pentagone – depuis le milieu des années 2010.
Deus ex machina : les enjeux de l’autonomisation des systèmes d’armes
Si l’automatisation des machines s’inscrit dans une trajectoire historique, conceptuelle et technique déjà longue, les progrès exponentiels des techniques d’intelligence artificielle, de la robotique et leurs applications militaires laissent entrevoir l’émergence de systèmes intégrant davantage d’autonomie. En effet, malgré des campagnes appelant à un moratoire sur les armes autonomes, la plupart des puissances militaires développent des programmes axés sur l’autonomie.
L'utilisation militaire des petits satellites en orbite
Le nombre de petits satellites en orbite a augmenté rapidement au cours de la dernière décennie, et la croissance de ce secteur devrait encore s'accélérer dans les années à venir.
Une guerre sans hommes ? L’ethos guerrier à l’ère des armes autonomes
TRIBUNE. Responsable du Centre géopolitique des technologies de l'Ifri, la docteure Laure de Roucy-Rochegonde explique les résistances du monde militaire au sujet de l'usage des armes autonomes.
Des drones tueurs aux bombes à sous-munitions, les guerres en Ukraine et à Gaza déplacent les lignes éthiques
Certaines armes autrefois considérées comme inacceptables sur le plan éthique, voire interdites par des dizaines de pays, sont désormais largement employées, parfois guidées par des algorithmes. Sans que cela semble causer d’émoi planétaire.
« Sur le champ de bataille, l’IA dépasse les attentes des militaires »
« Entretiens de l’IA ». Pour Laure de Roucy-Rochegonde, autrice de « La Guerre à l’ère de l’intelligence artificielle », l’apparition d’armes plus autonomes peut remettre en cause le contrôle de l’usage de la force.
Guerre robotisée : quel cerveau pour commander l’usage de la force ? L’humain ou l’artificiel ?
Les armes dotées de fonctionnalités autonomes se multiplient et rendent de plus en plus complexes le « contrôle de la force » par les États. Reste que l’outil de l’intelligence artificielle peut permettre de mieux discerner les cibles et d’économiser les pertes humaines. Mais à force de déléguer des compétences à la machine et à l’IA, les États ne perdent-ils pas la main ? « Le livre très complet de l’experte Laure de Roucy-Rochegonde (PUF), « La guerre à l’ère de l’Intelligence artificielle », est pour le moins pessimiste.
Avec le lancement de l'observatoire sino-français Svom, Pékin s'impose parmi les leaders du spatial
Voilà un nouveau marqueur de la réussite dans le domaine spatial pour la Chine, partenaire que la France n’a pas choisi au hasard. En quelques décennies, l’Empire du milieu a su s'ériger en leader du spatial. Le lancement de l'observatoire spatial Svom (Space-based multi-band astronomical Variable Objects Monitor) samedi 22 juin depuis la base spatiale de Xichang, dans le sud-ouest de la Chine en est une nouvelle preuve.
Nouvelle ère spatiale, menaces et défis
Ce lundi 12 février, Général Michel Friedling, cofondateur de Look Up Space et ancien commandant de l'espace, Pascal Samama, journaliste BFM Business, et Paul Wohrer, chercheur à l'Ifri, ont discuté entre autres des enjeux des conflits modernes dans l'espace à travers des satellites militaires dans l'émission Le monde de Poincaré, présentée par Nicolas Poincaré.
Les drones, ennemis des systèmes de défense antiaériens
Du drone tactique de reconnaissance à ceux d’attaques, les avions sans pilote, reconnaissables à leur bourdonnement, sont devenus les outils incontournables des conflits en cours. Entretien avec Léo Péria-Peigné, chercheur Armement et Industrie de défense à l'Observatoire des conflits futurs de l’IFRI, l'Institut Français des Relations Internationales.
IA : faut-il confier la guerre à des robots ?
La guerre a-t-elle basculé dans l’ère de l’IA ? Le ministre de la Défense vient d’annoncer la création d’une agence spécifique, et partout dans le monde, on se pose des questions sur la place prise par les robots et les algorithmes sur les champs de bataille.
Drones, robots, IA… des armes de plus en plus autonomes ?
Quand l'IA se retourne contre son opérateur
Un drone de l'US Air Force qui décide de tuer son opérateur parce qu'il l'empêche de réaliser sa mission... Attention, c'est bien d'un exercice qu'il s'agit mais un exercice qui aurait eu lieu selon un colonel de l'US Air Force.
Replay - Géopolitique de l'IA - Conférence de l'Ifri à La Sorbonne
À l’occasion de la publication du dossier spécial de Politique étrangère sur l'Intelligence artificielle, l'Ifri a organisé une conférence à la Sorbonne en présence de trois des auteurs de ce dossier.
Laure de Roucy-Rochegonde et la guerre à l'ère de l'intelligence artificielle
Laure de Roucy-Rochegonde est docteur en sciences politiques. Elle signe un ouvrage qui pose des questions vertigineuses ; « La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle », ou comment les armes sont en train de devenir autonomes, ce qui pourrait avoir un impact majeur sur les conflits futurs.
La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle, selon Laure de Roucy-Rochegonde
Les images du drone ayant identifié Yahya Sinouar le 16 octobre 2024 ont fait le tour du monde. Comment l'usage de nouvelles technologies à des fins bellicistes reconfigure-t-il le contrôle de la force, désormais réparti entre l'humain et l'IA ? Comment l'IA bouleverse le droit de la guerre ?
La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle
Dans son récent ouvrage « La guerre à l'ère de l'intelligence artificielle » paru en octobre, Laure de Roucy-Rochegonde s'interroge sur la façon dont l'intelligence artificielle et les armes autonomes peuvent remettre en cause le contrôle humain, politique et juridique, de l'usage de la force.
Intelligence artificielle, guerre et robots tueurs
Interrogée par Stéphane Jourdain dans l'émission « La tech la première » sur France Inter, Laure de Roucy-Rochegonde revient sur les usages actuels de l'intelligence artificielle dans le cadre des conflits armés en Ukraine et à Gaza.
L'IA s'en va-t-en guerre
Quelles sont les principales innovations apportées par l'IA dans les guerres qui se déroulent en Ukraine et à Gaza ? Quels risques ces développements posent-ils pour les guerres du futur ? Quelle place pour le droit international face à l'essor des armes autonomes ?
Guerre à Gaza : les répercussions internationales un an après le 7 octobre
Notre podcast "Le monde selon l'Ifri" fait sa rentrée ! Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Dorothée Schmid, responsable du Programme Turquie/MoyenOrient de l'Ifri, pour un décryptage des répercussions internationales de la guerre à Gaza.
La guerre au XXIe siècle : des robots et des hommes
La manière de "faire la guerre" a évolué avec la professionnalisation des armées, le refus des opinions publiques de voir leurs soldats sacrifier leurs vies dans des opérations extérieures lointaines, et l’émergence de nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle, les robots et autres drones.
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L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.