L'offensive de l'administration Biden contre le Bitcoin
Washington veut contrôler les cryptomonnaies, jugées trop volatiles. Cette semaine dans New Deal, nous nous éloignons des sujets de politique intérieure et de politique étrangère pour plonger dans les méandres de la finance à l'ère du numérique.
Contre Facebook et Pékin, Joe Biden devrait suivre l'exemple des Européens
Cette semaine, ça va très mal pour Facebook. Ce lundi 4 octobre, la plateforme a été confrontée à la plus grande panne de son histoire, une panne qui a duré près de six heures, touchant les utilisateurs non seulement de Facebook, mais aussi d'Instagram, de WhatsApp et de Messenger, un total estimé à 3,5 milliards de personnes.
Joe Biden : mauvaise passe ou le début du chaos ?
C'est avec un programme politique très ambitieux et plutôt à gauche dans le contexte américain que Joe Biden est arrivé à la Maison-Blanche. Et sans vraie surprise, avec sa maigre majorité à la Chambre des représentants et un rapport de force de 50-50 au Sénat, il a du mal à le mettre en œuvre – on s'y attendait.
Chine, Indo-Pacifique et multilatéralisme : la difficile équation de Biden
Que révèle la formation d'une alliance avec le Royaume-Uni et l'Australie par l'administration de Joe Biden ? L'ancien vice-président de Barack Obama doit assumer un héritage difficile, que rythment entre autres la rivalité sino-américaine et la fragilisation du libéralisme international. Le président démocrate, qui semble s'inscrire dans la continuité de Donald Trump face à l'expansionnisme chinois, est résolu à réorienter l'effort sécuritaire américain vers la zone Indo-Pacifique.
Etats-Unis : comment Joe Biden peut rebondir après la débâcle en Afghanistan
Ouragan Ida, résurgence du Covid-19, recul des droits des femmes au Texas... Le président des Etats-Unis n'est pas encore sorti de la série noire qui a plombé son été mais dont chaque épisode offre une opportunité de se relancer.
Attentats à Kaboul : le piège djihadiste
Une véritable course contre la montre est engagée en Afghanistan. Des dizaines de milliers de personnes veulent toujours fuir le pays, tombé aux mains des talibans. La tension n'en finit pas de grimper. Plusieurs diplomaties occidentales s’inquiètent de risques sécuritaires. Le Royaume-Uni prévient même d’une "menace imminente et grave" d’attentat à l’aéroport de Kaboul, porte de sortie du pays. Les Etats-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni ont ainsi appelé leurs ressortissants à s’éloigner au plus vite de la zone, en raison de menaces "terroristes", alors que des milliers de personnes s’y massent toujours. Les trois pays ont émis simultanément des mises en garde très précises et quasi identiques dans la nuit de mercredi à jeudi. La menace pourrait venir de la centaine de fidèles d’ISIS-Khorasan, la branche pakistano-afghane de Daech, que les talibans ont combattus et privés d’une vraie base territoriale.
Asie de l'Est : quelles stratégies face au duel Chine/USA ?
L'Asie de l'Est est sans nul doute la région du monde qui concentre aujourd'hui à la fois le plus d'intérêts et aussi de tensions, se trouvant prise entre les deux fronts d'une rivalité sino-américaine qui oblige les États de cette partie du monde à adapter leur positionnement vis-à-vis des deux grandes puissances, et particulièrement d'une Chine dont l'assurance politique et militaire croissante s'exerce aux dépens de ses voisins. L'Asie de l'Est, un laboratoire ?
Biden-Merkel : une visite pour refermer les plaies de l'ère Trump et solder les désaccords
A peine se retrouvent-ils, qu'il est déjà bientôt l'heure de se dire au revoir. Angela Merkel est attendue par Joe Biden ce jeudi, pour une visite officielle à Washington à deux mois de la fin de ses quinze années de règne. La chancelière allemande tirera en effet sa révérence à l'issue des législatives de septembre, ayant renoncé dès 2018 à briguer un cinquième mandat. Mais après quatre années de présidence Trump, cette invitation à la Maison-Blanche ne se résume pas simplement à une rencontre testamentaire entre les deux dirigeants, qui avaient souvent travaillé ensemble à l'époque Obama.
Merkel aux États-Unis: « L'Allemagne doit toujours donner des garanties pour s’assurer de l’amitié américaine »
C'est le début des adieux à l'international d'Angela Merkel. La chancelière allemande est reçue ce jeudi par Joe Biden. Le président américain n'a accueilli que deux dirigeants étrangers à la Maison Blanche depuis son entrée en fonction : le Japonais, Yoshihide Suga et le Sud-Coréen, Moon Jae-in, les alliés asiatiques des États-Unis.
Les démocraties sont-elles en rang derrière Joe Biden ?
L'Amérique est de retour et elle est prête à diriger à nouveau. C'est le message envoyé par Joe Biden dès son arrivée à la Maison Blanche, et c'est le message martelé la semaine dernière au cours de sa première tournée internationale en Europe.
Merkel aux États-Unis: « L'Allemagne doit toujours donner des garanties pour s’assurer de l’amitié américaine »
C'est le début des adieux à l'international d'Angela Merkel. La chancelière allemande est reçue ce jeudi par Joe Biden. Le président américain n'a accueilli que deux dirigeants étrangers à la Maison Blanche depuis son entrée en fonction : le Japonais, Yoshihide Suga et le Sud-Coréen, Moon Jae-in, les alliés asiatiques des États-Unis.
Biden-Merkel : une visite pour refermer les plaies de l'ère Trump et solder les désaccords
A peine se retrouvent-ils, qu'il est déjà bientôt l'heure de se dire au revoir. Angela Merkel est attendue par Joe Biden ce jeudi, pour une visite officielle à Washington à deux mois de la fin de ses quinze années de règne. La chancelière allemande tirera en effet sa révérence à l'issue des législatives de septembre, ayant renoncé dès 2018 à briguer un cinquième mandat. Mais après quatre années de présidence Trump, cette invitation à la Maison-Blanche ne se résume pas simplement à une rencontre testamentaire entre les deux dirigeants, qui avaient souvent travaillé ensemble à l'époque Obama.
Les démocraties sont-elles en rang derrière Joe Biden ?
L'Amérique est de retour et elle est prête à diriger à nouveau. C'est le message envoyé par Joe Biden dès son arrivée à la Maison Blanche, et c'est le message martelé la semaine dernière au cours de sa première tournée internationale en Europe.
Russie/État-Unis, le Dégel
A l’issue du sommet entre Joe Biden et Vladimir Poutine, Tatiana Kastouéva-Jean revient sur les grands enjeux de politique étrangère et intérieure russe, en particulier la relation russo-occidentale et la situation de l’oppositio
Biden se frotte au "tueur" Poutine
Ambiance guerre froide à Genève. Après des mois d’escalade verbale et de tensions entre la Russie et les États-Unis, Vladimir Poutine et Joe Biden se rencontrent cet après-midi en terrain neutre. Mais les deux chefs d’État s’apprécient peu et les sujets de discorde sont nombreux.
Le Kremlin et la Maison-Blanche condamnés à ne pas se fâcher
Washington comme Moscou n'ont pas intérêt à ce que leurs relations, actuellement difficiles, s'enveniment. Les sujets de discorde ne manquent pas mais les deux dirigeants pourraient essayer de définir des lignes rouges à ne pas franchir et avancer sur les dossiers d'intérêts communs.
Joe Biden rencontre Vladimir Poutine "le tueur"
Dans "L'info s'éclaire", Axel de Tarlé décrypte, en compagnie de journalistes de France Télévisions et d'experts, l'actualité du jour en France ou dans le monde, à travers des reportages et des analyses de la rédaction.
Face à Poutine, Biden ne cherche pas qu'à se démarquer de Trump
Les premiers mois de la relation entre Joe Biden et Vladimir Poutine ont été riches en tensions. Mais le président américain semble vouloir y remédier, sur certains points.
Deux présidents au bord du cyber
La Maison Blanche a durci le ton ces derniers mois après une série d’intrusions informatiques plus ou moins liées à la Russie.
Renouer le lien transatlantique en réaffirmant les valeurs communes n’a jamais été aussi important
Alors que Joe Biden a entamé une semaine de rencontres en Europe, Laurence Nardon explique que les démocraties ont la responsabilité historique de faire front commun face aux régimes autoritaires qui « ne cachent plus leur mépris de l’état de droit ».
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