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Énergie - Climat

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Face à l’urgence climatique et aux confrontations géopolitiques, comment concilier sécurité d’approvisionnement, compétitivité, accessibilité, décarbonation et acceptabilité ? Quelles politiques pour y répondre ?

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Des éoliennes génèrent de l'énergie durable au milieu d'un champ vert.
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Date de publication
octobre 2024

Les marchés du carbone peuvent-ils faire une percée à la COP29 ?

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Reboisement dans les forêts mixtes par plantation de jeunes arbres
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Reboisement dans les forêts mixtes par plantation de jeunes arbres
Credits : © Dietrich Leppert/Shutterstock
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Les marchés volontaires du carbone (MVC) ont un potentiel élevé, notamment pour réduire le déficit de financement de la lutte contre le changement climatique, en particulier en Afrique.

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#Nuclexit: L'Europe peut-elle sortir du nucléaire?

06 février 2017
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Chaque Etat membre de l’Union européenne a le champ libre sur "les conditions d’exploitation des ressources énergétiques, son choix entre différentes sources d’énergie et la structure générale de son approvisionnement énergétique", indique la Convention européenne.

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La Chine sur le podium des énergies renouvelables

09 janvier 2017
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La République populaire de Xi Jinping poursuit activement sa transition énergétique, adoptant un rôle moteur dans les négociations climatiques internationales.

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2017 : une année empreinte d’incertitudes pour l’industrie pétrolière et gazière

09 janvier 2017
Accroche

Aléas géopolitiques, solidité de l’accord OPEP-non OPEP sur la réduction de la production de pétrole, réaction des producteurs de pétrole de schiste aux États‑Unis, abondance de l’offre et prix bas du gaz, transition vers une économie bas-carbone… L’année 2017 s’ouvre sur de nombreuses incertitudes pour l’industrie du pétrole et du gaz, comme l’explique Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Énergie de l’IFRI, qui ouvre le dossier Perspectives 2017 du BIP.

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Le pétrole de schiste américain est de retour

12 décembre 2016
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La hausse du prix du brut au-dessus de 50 dollars redonne des perspectives aux producteurs des Etats-Unis.

À ce rythme, les hydrocarbures non conventionnels pourront bientôt dire merci à l'Opep. Depuis que l'organisation emmenée par l'Arabie saoudite s'est employée à redresser les cours du pétrole (lire ci-dessous) - désormais bien installés au-dessus de la barre des 50 dollars le baril -, les pétrole et gaz de schiste ont repris des couleurs aux États-Unis. La semaine dernière, la société Baker Hughes, référence en la matière, a recensé la remise en service de 27 rigs (appareils de forage) supplémentaires, portant le total à 624 plateformes employées pour ouvrir de nouveaux puits. Certes, le pic des I 930 rigs, enregistré en 2014, est encore loin mais l'industrie des shale oil et des shale gas a clairement retrouvé une dynamique...

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Le jour où : 12 décembre 2015, ratification de l'accord COP21 sur le climat

01 décembre 2016
Accroche

Avec un fait d'actualité pour point de départ, "Le jour où" revient dans les coulisses d'un évènement marquant à travers des images d'archives et le témoignage, en plateau, d'un acteur majeur de l'époque ou d'un spécialiste.

 

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La stratégie énergétique de Trump se heurte au pragmatisme

23 novembre 2016
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Donald Trump s’est exprimé à plusieurs reprises sur les thématiques énergétiques lors de sa campagne. Relancer l’industrie charbonnière a été au centre de son plan énergétique pour l’Amérique, tout comme le gaz et le pétrole qu’il a opposés aux énergies renouvelables jugés bien trop chères. Un discours qui a fait mouche auprès d’une partie de l’électorat mais qui devrait rapidement se heurter au principe de réalité.

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Trump versus COP22 : l’avenir des énergies vertes en question

21 novembre 2016
Accroche

Après les promesses de Trump de relancer l'industrie du charbon, quel avenir pour les énergies vertes ? A quel point, et à quelles conditions Donald Trump pourra-t-il détricoter l'accord de Paris sur le Climat ? Le marché du photovoltaïque, de l'éolien vont-ils directement pâtir de cette élection ?

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Russie. Guerre de l’information et contre-progagande

17 novembre 2016
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Depuis une décennie, la Russie a fait de l’information un instrument stratégique de sa politique étrangère. Elle a mis en place un puissant réseau officiel de médias. Pour contrer cette machine dite de "désinformation", des initiatives se développent dans l'Europe qui s'oppose à l'autoritarisme du Kremlin.

 

 

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Et la lumière fut

16 novembre 2016
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Plus d’un milliard d’humains sont aujourd’hui privés d’électricité. Or l’accès à l’énergie est un moteur de développement. C’est pourquoi les Nations unies ont fait de l’électrification universelle une grande cause planétaire. En attendant, dans les pays du Sud, on innove pour s’alimenter en courant régulier. 

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On a très peu de visibilité sur le programme énergétique de Donald Trump

14 novembre 2016
Accroche

On sait que Donald Trump est pro-pétrole et pro-charbon et qu’il veut dénoncer l’Accord de Paris pour le climat. Mais de nombreuses inconnues demeurent quant à son programme énergétique pour les États-Unis, souligne Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Énergie de l’IFRI, interrogée par le BIP.

Quelle politique énergétique peut-on attendre de Donald Trump qui succédera en janvier à Barack Obama à la présidence des États-Unis ?

Donald Trump a annoncé énormément de choses, notamment sur l'énergie, pas toujours cohérentes. On a peu de visibilité sur son programme, alors qu'Hillary Clinton aurait largement été dans la continuité d'Obama. On a beaucoup de mal à voir ce qu'il va mettre en place et à analyser les conséquences de son élection. Mais si l'on suit les signaux qu'il a donnés pendant sa campagne, ce n'est pas de bon augure pour la COP22. La principale « victime » de ce changement, ce sera l'environnement qui ne sera plus une priorité. ll va peut-être chercher à en faire un symbole avec le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris. Au plan domestique, Obama, surtout pendant son dernier mandat, avait pris des mesures de réduction des émissions de CO2. Trump a annoncé qu'il allait détricoter tout cela mais, dans les faits, la politique environnementale américaine est menée bien plus au niveau des États qu'au niveau fédéral. Au plan fédéral, la grande mesure a été la prolongation en 2016 pour cinq ans du crédit d'impôt sur l'investissement dans le solaire et l'éolien.

L'Accord de Paris pour le climat, signé fin 2015 à la COP21, est entré en vigueur le 4 novembre. Quelles seraient les conséquences du retrait des États-Unis ?

L'article 28 de l'accord prévoit que le retrait n'est possible qu'après quatre ans en tout. Donald Trump ne pourra donc en sortir qu'en 2020, presque à la fin de son mandat. ll a déjà dit que les États-Unis ne participeraient plus aux financements climatiques. L'accord n'a été possible qu'avec le soutien des États-Unis et de la Chine. C'était plus un accord politique censé donner le signal pour que les investissements bas-carbone suivent. Si l'on perd le leadership américain, on risque de perdre cette impulsion politique et cela remet beaucoup de choses en question. ll va falloir trouver un nouveau leader. Les regards se tournent vers la Chine.

Donald Trump veut supprimer l'Agence de protection de l'environnement (EPA) et le Clean Power Plan en faveur d'une électricité décarbonée. Quelles seraient les conséquences ?

L'EPA est I'organisme de contrôle de la politique climatique au niveau fédéral. Sachant qu'il n'y aura plus de contre-pouvoir au Congrès, à majorité républicaine, Donald Trump va clairement essayer de déssaisir l'agence de ses prérogatives. ll va aussi essayer de détricoter le Clean Power Plan, déjà très mal en point. Mais l'analyse de l'IFRI a montré qu'il fallait plutôt voir ce programme comme venant confirmer la tendance de transition énergétique, qui est déjà là. C'était surtout censé apporter plus de stabilité réglementaire pour les acteurs.

Le président élu peut-il relancer le charbon, comme il l'a promis, alors que le gaz et les énergies renouvelables ont beaucoup progressé aux États-Unis ces dernières années ?

On ne s'attend pas a un virage complet en faveur du charbon parce que les fondamentaux économiques d'aujourd'hui penchent plus en faveur de la transition énergétique qu'il y a quelques années. Les politiques de transition énergétique mises en place aux États-Unis dernièrement s'appuyaient beaucoup sur les fondamentaux du marché qui ne vont pas changer. Or la politique de sortie progressive du charbon est liée au fait que le charbon a perdu en compétitivité face au gaz naturel, grâce au développement des gaz de schiste. Il y aura donc peut-être moins d'obligations au niveau politique mais, dans le fond, le système énergétique américain s'est déjà transformé, avec plus de gaz et plus de renouvelables, parce que les renouvelables sont devenues plus compétitives. De grandes entreprises américaines fleurissent dans le secteur et créent des emplois. La dynamique du marché est favorable aux renouvelables. Trump est pro-fossiles, pro-charbon. ll dit qu'il va de nouveau créer des emplois, mais l'industrie des renouvelables, en particulier le solaire, crée énormément d'emplois aux États-Unis, peut-être même plus que le charbon. Donald Trump a un discours un peu contradictoire sur les renouvelables : à la fois, il voit dans les ENR un outil de promotion de l'indépendance énergétique et une source d'emploi et, de l'autre côté, il veut supprimer les subventions. Mais il pourrait ne plus mettre en place des mesures de l'EPA, par exemple, et ce serait à chaque État de décider de sa politique environnementale, de ses subventions.

Donald Trump veut augmenter la production de pétrole des États-Unis. Que peut-il faire ?

Donald Trump a très peu de marge de manœuvre dans le pétrole. C'est un marché international. Il n'aura aucun impact sur les prix car ce sont les cours du brut qui décident comment les producteurs de schistes vont exploiter leurs ressources. Je vois peu d'impact direct. En revanche, il pourrait renoncer à l'accord de mars dernier avec le Canada sur la réduction des émissions de méthane de l'industrie pétrolière et gazière. Des grands projets d'infrastructure, comme le pipeline transfrontalier Keystone XL, avec le Canada aussi, vont clairement revenir. Dans les faits, le secteur du pétrole et du gaz est déjà dans une position très favorable par rapport au secteur charbonnier. Trump veut favoriser la production par le biais de réduction d'impôts, mais s'il prend des mesures de soutien beaucoup plus agressives pour augmenter la production de pétrole de schiste, les cours vont baisser. La dynamique est très internationale. Les États-Unis ont très peu de marge de manœuvre pour faire remonter les prix, au contraire.

Drump va-t-il révoquer l'accord nucléaire avec l'Iran, comme il l'a promis ?

Il me semble tout à fait possible qu'il dénonce l'accord nucléaire avec l'Iran. Mais, encore une fois, on a très peu de visibilité car il a eu un discours très peu cohérent, vu de l'extérieur, sur l'Iran, sur l'OPEP. ll avait un discours très anti-OPEP et très vigoureux à l'égard de l'Arabie saoudite, mais, de l'autre côté, son expert pétrole a demandé à la Russie et à l'OPEP de s'entendre pour baisser la production. Remettre en cause l'accord avec l'Iran aurait un impact sur ses relations avec la Russie et avec l'Arabie saoudite, ainsi que sur la situation au Moyen-Orient. L'élection de Donald Trump est une nouvelle donne dans les relations internationales et dans la politique américaine de ces dernières années par rapport à la Russie, à l'Iran, à l'Arabie saoudite, à la Syrie...

 

 

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Vers une nouvelle cartographie du gaz

12 juillet 2016
Accroche

Baisse des prix du gaz, ralentissement de la consommation de gaz en Asie, arrivée massive de GNL, le marché gazier mondial est en pleine évolution. L'Europe espère en profiter pourattirer de nouvelles cargaisons de gaz pour combler le déclin naturel de sa propre production et réduire sa dépendance vis-à-vis du gaz russe. Seulement, l'Europe devra d'abord lever l'incertitude qui pèse sur l'avenir de cette énergie et mettre fin à son image de « marché de dernier recours ».

Pour lire l'article dans son intégralité, consultez www.enerpresse.com (réservé aux abonnés d'Enerpresse).

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Vers une nouvelle cartographie du gaz

12 juillet 2016
Accroche

Baisse des prix du gaz, ralentissement de la consommation de gaz en Asie, arrivée massive de GNL, le marché gazier mondial est en pleine évolution. L'Europe espère en profiter pour
attirer de nouvelles cargaisons de gaz pour combler le déclin naturel de sa propre production et réduire sa dépendance vis-à-vis du gaz russe. Seulement, l'Europe devra d'abord lever l'incertitude qui pèse sur l'avenir de cette énergie et mettre fin à son image de « marché de dernier recours ».

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La sécurité d’approvisionnement en gaz de l'Union européenne en 5 questions

15 juin 2016
Accroche

 En février 2016, la Commission européenne a proposé un nouveau règlement portant sur la sécurité d’approvisionnement en gaz au sein de l’Union européenne. Il vise notamment à instaurer un mécanisme de solidarité entre États membres en cas de rupture des livraisons comme lors du conflit entre la Russie et l’Ukraine de 2009. Nous avons interrogé Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Énergie de l’Ifri, qui vient de publier une note consacrée à ce sujet.

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Une réunion de l'OPEP attendue sans surprise

02 juin 2016
Accroche

Les pays membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) qui se retrouvent ce jeudi 2 juin à Vienne pour leur réunion semestrielle ne devraient pas prendre de décision de nature à changer la situation actuelle, selon des spécialistes du marché pétrolier. L'offre de pétrole mondiale est actuellement excédentaire, ce qui...

Pour lire l'article dans son intégralité, consultez www.enerpresse.com (réservé aux abonnés d'Enerpresse).

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Le pétrole n'est pas près de s'éteindre

26 mai 2016
Accroche

Si le XIXe siècle fut celui du charbon, le XXe a érigé le pétrole en ressource stratégique suprême. Mais la lutte contre le réchauffement climatique pourrait remettre en question son hégémonie. Premier volet de notre nouvelle série sur les énergies.

Le Venezuela est au bord de l’implosion. Le pays sud-américain, qui possède 18 % des réserves prouvées de pétrole de la planète, ne parvient plus à assurer à sa population ses besoins élémentaires. Le prix du litre d’essence à la pompe, qui était jusqu’ici de 0,01 $ – 1,8 $ en moyenne dans les pays de l’UE – a augmenté de 6 000 % en février, attisant encore un petit peu plus le ras le bol populaire.

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Le secteur pétrolier en Russie : une dégradation de la situation uniquement due à la baisse des cours du pétrole ?

24 mai 2016
Accroche

Les cours mondiaux du pétrole, relativement stables depuis 2010, s'écroulèrent à compter de juin 2014. Le prix du Brent passa de 107,88 dollars par baril en mai 2014 à 48,42 dollars en janvier 2015, avant d'atteindre 33,2 dollars en février 2016. Cette situation est de fait négative pour la Fédération de Russie. toutefois, la baisse du prix du baril n'est pas l'unique raison des turpitudes économiques russes.

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Aramco, pilier du virage économique du royaume wahhabite

11 mai 2016
Accroche

Dans un contexte de prix du baril durablement bas, l'Arabie saoudite multiplie les mesures pour garder la tête hors de l'eau. Fortement dépendant de cette ressource puisée dans ses abondantes réserves, le plus gros exportateur de pétrole du monde doit faire face à un déficit budgétaire record, une redistribution des rapports de force dans le secteur pétrolier et amorcer sa transition énergétique. Renforcement dans le secteur du raffinage, positionnement sur le marché asiatique, projets de privatisation : l'adoption d'un nouveau cap stratégique pour le royaume passe donc nécessairement par sa compagnie pétrolière, la Saudi Aramco. Sans opérer de bouleversement, le pays glisse vers un nouveau modèle.

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Les émissions de CO2 de l'Union européenne ont augmenté en 2015

04 mai 2016
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Selon les dernières estimations d’Eurostat dévoilées hier, les émissions de CO2 liées à la combustion d’énergies fossiles ont augmenté de 0,7% dans l’Union européenne en 2015. Près des deux tiers des États membres ont vu leurs émissions croître malgré des objectifs de réduction ambitieux au niveau communautaire.

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La transition énergétique reste chaotique en Europe

02 mai 2016
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Les électrons n'ont jamais été aussi verts en Europe. L'an dernier, les énergies renouvelables y ont représenté 27,5% de la production d'électricité, soit quatre fois plus qu'il y a dix ans. Et ce n'est qu'un début. Rien qu'en France, l'ambition affichée est de doubler le parc éolien d'ici à 2023 et de tripler le parc solaire....

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Les cours du pétrole vont-il s'effrondrer de nouveau ?

18 avril 2016
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Les négociations de Doha sur les quotas pétroliers se sont soldées par un échec ce dimanche 17 avril. Les principaux producteurs de l'or noir n'ont pas réussi à s'entendre pour plafonner leur production.

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L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.

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Le Centre énergie et climat de l’Ifri mène des activités et recherches sur les enjeux géopolitiques et géoéconomiques des transitions énergétiques. Il travaille à la fois sur les enjeux de sécurité énergétique, de compétitivité, de maîtrise des chaînes de valeur, et d'acceptabilité. Spécialisé dans l’étude des politiques européennes de l’énergie et du climat, et des marchés de l’énergie en Europe et dans le monde, ses travaux portent aussi sur les stratégies énergétiques et climatiques des grandes puissances comme les Etats-Unis, la Chine ou l’Inde. Il offre une expertise reconnue, enrichie de collaborations internationales et d'événements à Paris et à Bruxelles, notamment.

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