Prolifération et dissuasion, les deux faces d'une même pièce ?
L'invasion de l'Ukraine a ravivé, au sein du grand public, une crainte que l'on pensait d'un autre temps : celle d'une guerre nucléaire entre l'OTAN et la Russie. Dans cet épisode, Héloïse Fayet, coordinatrice du programme prolifération et dissuasion de l'Ifri, revient sur les fondamentaux théoriques et stratégiques qui sous-tendent cette crainte.
Nouveau porte-avions nucléaire français en 2038
Comme chaque dimanche soir, Darius Rochebin revient sur les principales actualités internationales. Il est ici question des dernières annonces du ministre des Armées Sébastien Lecornu, notamment sur le nouveau porte-avions français.
Nucléaire iranien : 5 minutes pour comprendre pourquoi l’Iran veut "tester la ligne rouge occidentale"
Jusqu’où ira l’Iran dans la poursuite de son programme nucléaire ? La question se pose une nouvelle fois alors que l’Agence internationale du nucléaire (AIEA) a détecté sur son sol des particules d’uranium enrichi à 83,7 %, soit juste en deçà des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique. Sous pression, Téhéran a évoqué des « fluctuations involontaires », continuant de nier toute volonté de produire une telle arme. Cette position sera-t-elle tenable sur le long terme ? Le Parisien fait le point.
Nucléaire : "C'est très important que l'Iran ne devienne pas une nouvelle Corée du Nord"
Pour Héloïse Fayet, de l'Institut français des relations internationales, si l'Iran pouvait fabriquer suffisamment de matière fissile en douze jours, le processus pour acquérir une bombe nucléaire prendrait encore un ou deux ans.
Iran : Bientôt capable de fabriquer une arme nucléaire ?
Jusqu'où l'Iran va-t-il poursuivre son programme nucléaire ? La République islamique a franchi un stade jamais atteint selon l'AIEA. Le gendarme du nucléaire a détecté des particules d'uranium enrichi à 83,7 %, c'est-à-dire juste en-dessous du seuil de 90 % nécessaire à la fabrication de l'arme atomique.
Poutine veut relancer les essais nucléaires
L’un à Moscou, l’autre à Varsovie. Vladimir Poutine et Joe Biden prononcent ce mardi 21 février des discours croisés antagonistes, aux relents de guerre froide, promettant deux points de vue radicalement opposés sur la guerre en Ukraine et sur les rapports de force entre grandes puissances.
Nucléaire, et si Poutine passait à l'acte ?
Avec la guerre en Ukraine, c'est l'escalade que tout le monde redoute depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Et si Poutine utilisait l'arme atomique ? Que se passerait-il ? Quels sont les différents scénarios possibles ? Quelles seraient les décisions prises par l'OTAN et par la France ? Pour tout savoir sur les missiles russes, le fameux code nucléaire français et l'équilibre de la terreur.
Menace nucléaire : depuis un an, Poutine joue avec nos nerfs
Depuis le début de la guerre, le président russe brandit à intervalles réguliers la menace nucléaire. Sans que cela n’ait influencé, pour l’heure, le comportement des alliés de l’Ukraine.
L’Iran au seuil de ses ambitions nucléaires
Téhéran a de nouveau progressé dans son programme nucléaire : la République islamique enrichit désormais de l’uranium à 60% dans un deuxième site, celui de Fordo, qui a la particularité d’être profondément enfoui sous terre. Cette accélération survient alors qu’il n’y a plus de négociations pour un nouvel accord nucléaire. Et alors que l’isolement de l’Iran s’accroît en raison de la répression du mouvement de contestation qui dure depuis le mois de septembre.
Avec la guerre en Ukraine, le retour à l’ambiguïté stratégique, principe indispensable de la doctrine nucléaire
Plonger l’ennemi dans l’incertitude sur ce que sont nos intentions ou ce que sera notre riposte : l’ambiguïté stratégique est une pratique très ancienne, déjà théorisée dans L’Art de la guerre, du Chinois Sun Tzu, au VIe siècle avant notre ère. Si cette notion n’est pas liée à la seule dissuasion nucléaire, elle y trouve néanmoins sa pleine dimension en raison des enjeux et des risques propres à l’arme atomique.
Iran : Bientôt capable de fabriquer une arme nucléaire ?
Jusqu'où l'Iran va-t-il poursuivre son programme nucléaire ? La République islamique a franchi un stade jamais atteint selon l'AIEA. Le gendarme du nucléaire a détecté des particules d'uranium enrichi à 83,7 %, c'est-à-dire juste en-dessous du seuil de 90 % nécessaire à la fabrication de l'arme atomique.
Nucléaire, et si Poutine passait à l'acte ?
Avec la guerre en Ukraine, c'est l'escalade que tout le monde redoute depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Et si Poutine utilisait l'arme atomique ? Que se passerait-il ? Quels sont les différents scénarios possibles ? Quelles seraient les décisions prises par l'OTAN et par la France ? Pour tout savoir sur les missiles russes, le fameux code nucléaire français et l'équilibre de la terreur.
Poutine veut relancer les essais nucléaires
L’un à Moscou, l’autre à Varsovie. Vladimir Poutine et Joe Biden prononcent ce mardi 21 février des discours croisés antagonistes, aux relents de guerre froide, promettant deux points de vue radicalement opposés sur la guerre en Ukraine et sur les rapports de force entre grandes puissances.
Menace nucléaire : depuis un an, Poutine joue avec nos nerfs
Depuis le début de la guerre, le président russe brandit à intervalles réguliers la menace nucléaire. Sans que cela n’ait influencé, pour l’heure, le comportement des alliés de l’Ukraine.
L’Iran au seuil de ses ambitions nucléaires
Téhéran a de nouveau progressé dans son programme nucléaire : la République islamique enrichit désormais de l’uranium à 60% dans un deuxième site, celui de Fordo, qui a la particularité d’être profondément enfoui sous terre. Cette accélération survient alors qu’il n’y a plus de négociations pour un nouvel accord nucléaire. Et alors que l’isolement de l’Iran s’accroît en raison de la répression du mouvement de contestation qui dure depuis le mois de septembre.
Avec la guerre en Ukraine, le retour à l’ambiguïté stratégique, principe indispensable de la doctrine nucléaire
Plonger l’ennemi dans l’incertitude sur ce que sont nos intentions ou ce que sera notre riposte : l’ambiguïté stratégique est une pratique très ancienne, déjà théorisée dans L’Art de la guerre, du Chinois Sun Tzu, au VIe siècle avant notre ère. Si cette notion n’est pas liée à la seule dissuasion nucléaire, elle y trouve néanmoins sa pleine dimension en raison des enjeux et des risques propres à l’arme atomique.
Nucléaire iranien : Avec un uranium enrichi à 60 %, l'accord pourrait « être mort »
Le gendarme du nucléaire sermonne, l’Iran riposte. Ces derniers jours, la tension est montée d’un cran entre l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et Téhéran. Face aux critiques sur « son manque de coopération », cette dernière a annoncé avoir commencé, ce mardi, la production d’uranium à 60 % et qu’elle allait limiter les visites des inspecteurs de l’agence onusienne sur son territoire. La décision del a République islamique inquiète la communauté internationale, qui n’a pas manqué de réagir. Mais alors qu’il fait face aux révoltes internes dues aux manifestations liées à la mort de Mahsa Amini, l’Iran semble déterminé à avancer sur le nucléaire. 20 Minutes fait le point avec Héloïse Fayet, chercheuse spécialiste des doctrines de prolifération nucléaire.
Vers un troisième âge de la menace nucléaire ?
La centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes depuis mars 2022, est exposée à des bombardements réguliers depuis le début de la guerre en Ukraine. Entre samedi 19 et dimanche 20 novembre 2022, une dizaine de frappes ont ciblé les blocs énergétiques quatre et cinq et ont causé des dégâts près de bâtiments dits spéciales qui abritent des dépôts de combustibles frais et usés. Les deux belligérants s’accusent d’être à l’origine de ces tirs.
Ukraine: faut-il craindre une attaque nucléaire ?
Héloïse Fayet, chercheur à l'IFRI spécialisée en dissuasion nucléaire essaie d'évaluer le risque d'attaque nucléaire de la Russie.
Kherson annexée : c'est quoi la suite ?
Avec: Anne-Sophie Warmont, envoyée spéciale de BFMTV à Kiev (Ukraine). Masha Kalina, conseillère en art ukrainienne. Le colonel Michel Goya, consultant défense pour BFMTV. Christian Makarian, éditorialiste au journal Le Point, spécialiste de politique internationale. Héloïse Fayet, chercheuse au centre des études de sécurité de l'Ifri, spécialiste du nucléaire. Et Sylvie Bermann, consultante diplomatie pour BFMTV, ancienne ambassadrice de France en Russie.
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