Nucléaire : l’Iran entre coopération et défi
Ces derniers mois, l'Iran a augmenté son stock d'uranium enrichi sur son territoire. Théoriquement, selon un accord signé en 2015 entre l'Iran et les membres du Conseil de sécurité des Nations Unis, le taux d'enrichissement de l'uranium iranien ne devrait pas dépasser 3,6 %. Or l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) révèle qu'il est aujourd'hui enrichi à prêt de 84 %, à un rien des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique. Depuis mai 2018 et la sortie des Etats-Unis des accords de 2015 décidée par Donald Trump, les négociations avec Téhéran patinent et les Iraniens sont de plus en plus exigeants sur les contreparties à une limitation de leur activité nucléaire.
L’heure de l'Asie centrale est-elle arrivée ?
Il y a quelques jours, se tenait le premier sommet entre le président chinois et ses homologues des cinq Républiques d’Asie centrale. Kazakhstan, Ouzbékistan, Turkménistan, Kirghizstan et Tadjikistan sont autant d’anciennes Républiques soviétiques -aujourd’hui arrière-cour de la Russie- qui constituent une région stratégique aux yeux de Pékin qui cherche à avancer ses pions sur son flanc occidental, concurrençant ainsi la mainmise ancienne du grand frère russe.
Moyen-Orient : les nouvelles influences
Au Moyen-Orient, la guerre de 2003 représente un tournant. L'État irakien, failli, peine à se reconstruire. L'interventionnisme américain se tempère. D'autres puissances montent : la Russie et la Chine notamment. Les acteurs régionaux, enfin, multiplient les partenariats à géométrie variable.
Nucléaire iranien : 5 minutes pour comprendre pourquoi l’Iran veut "tester la ligne rouge occidentale"
Jusqu’où ira l’Iran dans la poursuite de son programme nucléaire ? La question se pose une nouvelle fois alors que l’Agence internationale du nucléaire (AIEA) a détecté sur son sol des particules d’uranium enrichi à 83,7 %, soit juste en deçà des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique. Sous pression, Téhéran a évoqué des « fluctuations involontaires », continuant de nier toute volonté de produire une telle arme. Cette position sera-t-elle tenable sur le long terme ? Le Parisien fait le point.
Nucléaire : "C'est très important que l'Iran ne devienne pas une nouvelle Corée du Nord"
Pour Héloïse Fayet, de l'Institut français des relations internationales, si l'Iran pouvait fabriquer suffisamment de matière fissile en douze jours, le processus pour acquérir une bombe nucléaire prendrait encore un ou deux ans.
Iran : Bientôt capable de fabriquer une arme nucléaire ?
Jusqu'où l'Iran va-t-il poursuivre son programme nucléaire ? La République islamique a franchi un stade jamais atteint selon l'AIEA. Le gendarme du nucléaire a détecté des particules d'uranium enrichi à 83,7 %, c'est-à-dire juste en-dessous du seuil de 90 % nécessaire à la fabrication de l'arme atomique.
Iran : quelles perspectives pour 2023 ?
Entre contestations sociales, inflation et augmentation de la pauvreté, quelles sont les perspectives pour l'Iran en 2023 ?
Frappes sur l’aéroport de Damas : Israël poursuit sa « guerre entre les guerres » en Syrie
L’armée israélienne a frappé lundi 2 janvier l’aéroport international de Damas, causant temporairement sa fermeture. Ces bombardements visent à endiguer l’influence de l’Iran aux portes d’Israël.
L’Iran au seuil de ses ambitions nucléaires
Téhéran a de nouveau progressé dans son programme nucléaire : la République islamique enrichit désormais de l’uranium à 60% dans un deuxième site, celui de Fordo, qui a la particularité d’être profondément enfoui sous terre. Cette accélération survient alors qu’il n’y a plus de négociations pour un nouvel accord nucléaire. Et alors que l’isolement de l’Iran s’accroît en raison de la répression du mouvement de contestation qui dure depuis le mois de septembre.
Femme, vie, liberté : révolution à l’iranienne
480 morts et 16 800 arrestations en deux mois. Tandis que le slogan "Femmes, Vie, Liberté" résonne dans l'hémicycle à quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, Téhéran passe un nouveau cap vers l’arme nucléaire annonçant produire de l’uranium enrichi à 60 %.
Washington-Téhéran : fin 2022, la réconciliation impossible ?
Les relations entre les Etats-Unis et la République islamique restent marquées par l’histoire. Côté iranien, le renversement du Premier ministre Mohammad Mossadegh en 1953 pèse lourdement dans la perception des Etats-Unis. Côté américain, les événements liés à la révolution islamique de 1979 sont encore un traumatisme après plus de quarante ans. La conclusion d’un accord encadrant le développement nucléaire iranien, dit Joint Comprehensive Plan of Action (JCPOA) en juillet 2015 constituait la première étape d’une éventuelle réconciliation. Las, elle se trouva interrompue par le retrait des Etats-Unis de l’accord et l’application d’une politique de « pression maximale » par l’administration Trump en 2018.
Guerre en Ukraine : un changement de monde ?
Au-delà de ses enjeux tactiques, multiples sont déjà les conséquences du conflit ukrainien, plus nombreux encore seront ses suites sur le système mondial. Politique étrangère parcourt ces perspectives dans un dossier exceptionnel.
Le partenariat russo-iranien. Une entente conjoncturelle aux accents sécuritaires
L’Iran, qui négocie notamment avec la Russie sur son programme nucléaire, s’est abstenu, le 3 mars 2022, lors du vote de la résolution « Agression contre l’Ukraine » à l’Assemblée générale des Nations unies, exigeant le retrait immédiat des troupes russes de ce pays. L’état des relations bilatérales irano-russes explique l’attitude de Téhéran.
Climat : quelle marche suivre ?
Le dossier « Climat : quelle marche suivre ? » fait le point, trente ans après Rio, sur des engagements climatiques sans doute moins brillants, moins assurés, que les proclamations politiques et les emballements médiatiques. Nombre de problèmes de fond demeurent.
Détroit d'Ormuz : la guerre des nerfs
En cas de conflit majeur, l'Iran pourrait décider de fermer le détroit d'Ormuz, ce qui provoquerait une crise énergétique mondiale.
Washington-Téhéran : l'élection de Joe Biden change-t-elle la donne ?
Après quatre années de « pression maximale » sous l'administration Trump, l'élection de Joe Biden porte de grandes attentes pour l'amélioration des relations entre les Etats-Unis et l'Iran.
RAMSES 2021. Le grand basculement ?
Pour sa 38e édition, trois questions majeures sont abordées dans le RAMSES 2021. Santé/Climat : COVID-19, et maintenant ? : Le virus est emblématique de la mondialisation : nul ne contrôle ni ne maîtrise sa circulation. Qui gouverne ? Il n'y a pas de gouvernance spécifique du "transversal", des questions mondialisées : santé, environnement, techniques informationnelles... Europe : se refaire ou se défaire : Comme toujours, le bilan européen est en demi-teinte : pâle et décisif, inévitable. Se refaire ou se défaire, se penser comme projet politique ou vivoter comme simple filet de sécurité : voilà l’option qui est devant la Conférence sur l’avenir de l’Europe. Monde arabe : 10 ans après le faux printemps : La décennie post-printemps et la crise du coronavirus vont dans le même sens : renforcement du contrôle sur les sociétés, aggravation du poids des régimes autoritaires, situation économique catastrophique, division profonde de sociétés en révolte.
Les bases de la puissance. Enjeux géopolitiques et stratégiques des bases militaires avancées
À travers l’histoire, les grandes puissances se sont appuyées sur des bases militaires avancées pour intervenir dans une zone d’intérêt, assurer la sécurité d’un allié ou contrôler un territoire.
L’Iran et ses “proxys” au Moyen-Orient. Les défis de la guerre par procuration
Si l’Iran occupe aujourd’hui une place aussi centrale au Moyen-Orient c’est en partie du fait de l’action d’un réseau de groupes armés qu’il utilise comme « proxys ».
Sanctions and the End of Trans-Atlanticism. Iran, Russia, and the Unintended Division of the West
Les sanctions secondaires sont devenues l’instrument principal de découplage des objectifs politiques poursuivis par les États-Unis et l’Union européenne vis-à-vis de l’Iran et de la Fédération de Russie.
Iran : Bientôt capable de fabriquer une arme nucléaire ?
Jusqu'où l'Iran va-t-il poursuivre son programme nucléaire ? La République islamique a franchi un stade jamais atteint selon l'AIEA. Le gendarme du nucléaire a détecté des particules d'uranium enrichi à 83,7 %, c'est-à-dire juste en-dessous du seuil de 90 % nécessaire à la fabrication de l'arme atomique.
Nucléaire : "C'est très important que l'Iran ne devienne pas une nouvelle Corée du Nord"
Pour Héloïse Fayet, de l'Institut français des relations internationales, si l'Iran pouvait fabriquer suffisamment de matière fissile en douze jours, le processus pour acquérir une bombe nucléaire prendrait encore un ou deux ans.
Nucléaire iranien : 5 minutes pour comprendre pourquoi l’Iran veut "tester la ligne rouge occidentale"
Jusqu’où ira l’Iran dans la poursuite de son programme nucléaire ? La question se pose une nouvelle fois alors que l’Agence internationale du nucléaire (AIEA) a détecté sur son sol des particules d’uranium enrichi à 83,7 %, soit juste en deçà des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique. Sous pression, Téhéran a évoqué des « fluctuations involontaires », continuant de nier toute volonté de produire une telle arme. Cette position sera-t-elle tenable sur le long terme ? Le Parisien fait le point.
Nucléaire iranien : Avec un uranium enrichi à 60 %, l'accord pourrait « être mort »
Le gendarme du nucléaire sermonne, l’Iran riposte. Ces derniers jours, la tension est montée d’un cran entre l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et Téhéran. Face aux critiques sur « son manque de coopération », cette dernière a annoncé avoir commencé, ce mardi, la production d’uranium à 60 % et qu’elle allait limiter les visites des inspecteurs de l’agence onusienne sur son territoire. La décision del a République islamique inquiète la communauté internationale, qui n’a pas manqué de réagir. Mais alors qu’il fait face aux révoltes internes dues aux manifestations liées à la mort de Mahsa Amini, l’Iran semble déterminé à avancer sur le nucléaire. 20 Minutes fait le point avec Héloïse Fayet, chercheuse spécialiste des doctrines de prolifération nucléaire.
Nucléaire iranien: vers le scénario du pire?
Les négociations sur le nucléaire iranien semblaient sur le point d'aboutir quand, soudainement, est réapparu le scénario du pire. Téhéran dispose de 40 kilos d'uranium enrichi à 60% et pourrait être en mesure de bricoler une bombe nucléaire rudimentaire, en attendant d'atteindre le seuil des 90% nécessaire à une éventuelle utilisation militaire.
Nucléaire iranien : est-il trop tard pour un accord ?
Les négociations sur le nucléaire iranien entre les grandes puissances et l’Iran ont repris le 29 novembre à Vienne.
Iran : l'engrenage nucléaire
Joe Biden peut-il continuer à se désengager du Moyen-Orient alors que la région est au bord d’une crise ouverte ?
Nucléaire iranien : des négociations vouées à l'échec ?
Alors que se sont rouvertes hier à Vienne les négociations pour sauver l'accord sur le nucléaire iranien de 2015, les positions israéliennes et américaines semblent de moins en moins compatibles.
Nucléaire iranien: l'accord de 2015 peut-il encore être sauvé ?
Après cinq mois d'interruption, les négociations pour sauver l'accord international de 2015 sur le nucléaire iranien ont repris aujourd'hui à Vienne, en Autriche. Ce texte offrait à Téhéran la levée d'une partie des sanctions étouffant son économie, en échange d'une réduction drastique de son programme nucléaire, placé sous un strict contrôle de l'ONU.
Nucléaire : Téhéran à la manoeuvre
Alors que Donald Trump avait décidé en 2018 de sortir unilatéralement de l’accord de Vienne, son successeur avait porté l’ambition de mener de nouvelles négociations avec Téhéran sur le dossier du nucléaire.
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